Minette Libom Li Likeng, ministre des Télécommunications
Depuis quelques jours,l'Agence de Régulation de Télécommunications (ART)est de nouveau au coeur de l'actualité au Cameroun comme elle nous habitué depuis quelques temps. Cette fois,c'est la nouvelle Présidente du Conseil D'Administration,la Professeure Justine DIFFO qui semble être au cœur d'un nouveau scandale politico-financier au grand plaisir des véritables artificiers de cette affaire qui continuent d'avancer masqué.
Il y'a quelques mois sur cette page,au lendemain de la nomination du Professeur Justine DIFFO à la tête du Conseil d'Administration, nous avions alors au travers de nombreuses vidéos attirer son attention de ce qu'elle avait hérité là d'une patate chaude et que par conséquent, il lui fallait multiplier de vigilance pour ne pas tomber dans les mêmes pièges qui avaient été tendu à son prédécesseur.
Nous l'avons réitéré à moult reprises sur cette page parcequ'etant régulièrement informés sur l'axe du mal qui sévit au sein de l'ART et qui met en corrélation le Directeur Général d'un côté, la Ministre des Postes et des Télécommunications de l'autre côté et à l'autre bout,leurs réseaux de soutiens à la Présidence de la République qui leur servent de couverture.
Nous avons depuis de nombreux mois exposé sur cette page les nombreuses frasques de Philémon Zo'o Zame qui pille à ciel ouvert L'ART à travers une gestion catastrophique qui va du détournement des lignes de fonds spécialisés en passant par des gonflements de salaires de ses proches jusqu'aux multiplications des missions fictives aux fins de détournement des fonds publics. Par ces procédés,Philemon Zo'o Zame a distrait de centaines de millions de Francs CFA avec l'aide de sa sœur ,originaire du Sud comme lui, Minette Libom Li Likeng qui n'a jamais trouvé à redire sur la gestion calamiteuse au sein de L'ART pour protéger ses intérêts.
Le pauvre HESSANA MAHAMAT avait été parfaitement informé de ce vaste réseau de détournement et d'enrichissement entretenu entre Philémon ZO'O Zame et Minette Libom Li Likeng
Aussitôt avait-il entrepris de le démanteler qu'un véritable rouleau compresseur sera monté contre lui aux fins de le discréditer aux yeux de l'opinion publique camerounaise. Il sera finalement débarqué tel un malpropre à la grande joie de l'axe du mal qui se sera débarrassé d'un homme qui aura voulu les empêcher de tourner en rond.
Aujourdhui encore,comme ce fut le cas d'avec HESSANA MAHAMAT, le même scénario vient d'être ressuscité par Philemon ZO'O Zame et sa sœur Minette Libom li Likeng pour avoir la tête de Justine DIFFO qui est parfaitement informé du réseau de détournement emprunt de gabegie financière dans cette entreprise. C'est ce qui lui vaut le lynchage savamment entretenu aujourd'hui au sein de l'opinion publique.
À l'instar du même procédé ayant conduit à l'éviction de l'ancien PCA, Philémon ZO'O Zame a commencé par monter une correspondance à charges contre la nouvelle PCA Justine DIFFO adressée à Meva'a M'Eboutou ,la qualifiant de tous les noms d'oiseaux et de rapaces au point de jeter le discrédit sur la compétence de cette enseignante des Universités. Par la suite, Minette Libom li Likeng qui assure la tutelle de L'ART sera mise à contribution en adressant une correspondance à Justine DIFFO qui laissait plutôt croire que c'est elle qui serait au cœur de la crise régnante au sein de cette entreprise. Alors qu'on se serait attendu logiquement que cette correspondance interpelle la gestion calamiteuse de ZO'O Zame, la sœur du village choisira de fermer les yeux pour sacrifier la " NKWA" qui voudrait verser du " sable dans leur tapioca".
Pour couronner le tout, c'est sans honneur que les réseaux de ZO'O ZAME vont activer des cabinets noirs pour non seulement engager une campagne de dénigrement sur la personne de Justine DIFFO au point de lui attribuer des conversations imaginaires et ridicules su whatsapp dont tout le monde sait qu'elles sont l'œuvre d'une application banale sur internet. Le but étant cette fois de coudre à cette dame une tunique de corrompue qui utilise sa fonction pour se faire de l'argent. Or ,il est de notoriété au Cameroun que les fonctions de PCA ne valent rien face à l'immensité des pouvoirs du DG qui tient les caisses de l'entreprise tout en assurant la gestion opérationnelle de celle-ci.
Philémon ZO'O Zame pense être le plus malin dans cette crise qui se joue à l'ART. Décidé à faire tomber Justine DIFFO pour éviter qu'elle ne ressuscite ses dossiers noirs , nous rassurons l'opinion que dans les prochains jours, nous reviendrons et publierons avec documents à l'appui, les différents frasques et les différents détournements de deniers publics dont Philémon ZO'O Zame en assure la manoeuvre. Rappelons que BEH MENGUE malgré sa longévité comme Directeur Général de cette société a finalement été rattrapé par ses frasques et paye en ce moment le lourd tribut en prison.
Nous ne comptons pas nous laisser avoir dans ce petit jeu de dupes et de manipulation entretenus par les réseaux ZO'O ZAME qui se veut être le tombeur de tous les PCA qui arrivent à la tête de l'ART. Le réseau de détournement qui sévit dans cette société au cas ou cela est établi par les autres membres du Conseil d'administration ne saurait être l'affaire d'une pauvre dame dont le péché est d'avoir voulu donner un coup de pieds dans la fourmilière. Cette propension constatée dans cette entreprise à régler les affaires d'État dans la rue telle que le témoignent les différentes sorties épistolaires de ZO'O ZAME et de MINETTE LIBOM LI LIKENG dénotent d'un vrai malaise du fait de la mauvaise gouvernance qui règne dans cet établissement para public.
Notre posture d'activiste et de lanceur d'alerte reste motivée par la recherche de la justice et de l'équité en toute chose.Nous ne militons pas pour une société où des lobbies se mènent une guerre des tranchées et où les plus forts sacrifient les autres au pilori des intérêts de quelques clans villageois.
Sans se substituer à la justice, il est question pour nous de dire les faits et d'espérer surtout que la justice fasse son travail en toute neutralité sans pression aucune.