Eunice - Tenor : Clarence Yongo demande de dénoncer toutes les formes de violence

Clarence Yongo demande de dénoncer les violences

Mon, 29 Aug 2022 Source: Clarence Yongo

L'histoire de la bagarre entre Eunice et Tenor alimenté la toile depuis quelques jours. S'inspirant de cette affaire, dame Clarence Yongo appelle a dénoncer toutes les formes de violence.

« Gars quand tu ne veux plus d'une femme, quitte là », dixit Général Valsero. Voici le schéma:

Un gars Tenor ne veut plus d'une fille Eunice Zunon.

Il l'invite chercher ses effets dans l'appartement ou à l'hôtel. Mais de fil en aiguille, elle passe la nuit avec lui peut être arrosée de champagne. Au petit matin, ils ont des rapports sexuels, sous l'impulsion du gars (c'est lui qui la touche et l'invite au plaisir charnel).

La fille se lève le matin et pense que tout redémarre comme avant, sauf que le gars ne veut plus d'elle et le lui jette sur le visage. Elle se sent humiliée et l'agresse.

Le copain du gars filme, on dirait qu'il connaît le scénario, elle est une impulsive convulsive; en clair, elle va attaquer comme d'habitude. Sauf qu'elle ne sait pas pourquoi l'ami et manager du gars filme au lieu de séparer le couple. Ensuite la vidéo se retrouve comme par hasard sur les réseaux sociaux. Le gars a créé comme l'a dit Un Mbom prêt: Ça Se Passe IcI. "Le démon d'Eunice".

Mais le gars est sorti par la porte des hommes battus; la "grande porte", celle de la compassion et de la solidarité de tous. Sa carrière va certainement reprendre du poil de la bête après la triste affaire Erica Mouliom.

La fille elle, est huée dans les spectacles dans lesquels elle était adulée. Normal, elle est autrice de violences physiques sur son fiancé, elle a même essayé de le frapper avec une bouteille. Même s'il ont couché ensemble, ça fait quoi? Même si après c'est la dépression ça fait quoi?

Cette histoire est celle d'Eunice et Tenor.

La situation pourrait être la tienne, la mienne, surtout que pour attaquer les femmes, les hommes usent du langage relatif au sexe (sujet tabou).

Dénonçons toutes les formes de violence, qu'elles soient physiques ou morales.

Auteur: Clarence Yongo