Qui ignore que les élites qui appellent Paul Biya à se représenter en 2018 – par anticipation??? à 85 ans pour 7 ans encore alors qu’il travaille depuis 1962 quand Barack Obama n’avait alors qu’un an – font la politique? Chez nous, faire la politique à quelqu’un c’est tromper la personne. Ou encore quand on dit, on lui a fait la politique – la polè – c’est qu’on s’est arrangé pour l’écarter.
Être un politicien c’est être dans la duplicité ou simplement un menteur qui assume; quelqu’un qui ne dit pas ce qu’il fait et qui ne pense pas ce qu’il dit. Dans ce sens, Paul Biya serait le premier politicien camerounais et en tant que champion, il a fait la politique – la polè – à de nombreuses victimes. Mais peut-on vraiment parler de victimes pour ces élites politiques qui à leur tour font elles aussi la politiques à d’autres… Ainsi va la politique au Cameroun.
Il n’y a pas un village ou on ne trouve des personnes victimes de la politique de ces élites qui signent ces appels à la candidature. On retrouve au sein des familles aujourd’hui divisées les mêmes méthodes où on se fait la politique, même s’il est de bon ton de dire qu’il n’y a pas de politique dans la famille; entendez il n’y a pas de place pour le coup de poignard dans le dos, la duplicité. Existe-t-il encore dans ce pays un lieu que la politique n’a pas pénétré? Comment donc résoudre les problèmes qui se posent à notre société quand on ne peut plus se parler?
Qui ignore que les élites qui appellent Paul Biya à se représenter en 2018 – par anticipation??? à 85 ans pour 7 ans encore alors qu’il travaille depuis 1962 quand Barack Obama n’avait alors qu’un an – font la politique? Chez nous, faire la politique à quelqu’un c’est tromper la personne. Ou encore quand on dit, on lui a fait la politique – la polè – c’est qu’on s’est arrangé pour l’écarter.
Être un politicien c’est être dans la duplicité ou simplement un menteur qui assume; quelqu’un qui ne dit pas ce qu’il fait et qui ne pense pas ce qu’il dit. Dans ce sens, Paul Biya serait le premier politicien camerounais et en tant que champion, il a fait la politique – la polè – à de nombreuses victimes. Mais peut-on vraiment parler de victimes pour ces élites politiques qui à leur tour font elles aussi la politiques à d’autres… Ainsi va la politique au Cameroun.
Il n’y a pas un village ou on ne trouve des personnes victimes de la politique de ces élites qui signent ces appels à la candidature. On retrouve au sein des familles aujourd’hui divisées les mêmes méthodes où on se fait la politique, même s’il est de bon ton de dire qu’il n’y a pas de politique dans la famille; entendez il n’y a pas de place pour le coup de poignard dans le dos, la duplicité. Existe-t-il encore dans ce pays un lieu que la politique n’a pas pénétré? Comment donc résoudre les problèmes qui se posent à notre société quand on ne peut plus se parler?
Quand on ne peut plus “talk the talk” ou “walk the walk”? N’est-ce pas sur ces bases qu’on devrait élire un président de la République? Pour nous aider à résoudre les problèmes qui se posent à nous? A moins que nous ayons renoncé à améliorer nos conditions de vie! Ou plutôt que nous avons choisi de nous en sortir chacun dans son coin en montant sa petite tactique pour “dribbler la vie” à son petit niveau sans que le voisin sache vraiment ce qu’on fait … puisqu’on ne dit surtout plus ce qu’on fait et on ne fait surtout plus ce qu’on dit!
Nous serions donc tous devenus des politiciens! Comme ces élites qui n’appellent à voter Paul Biya que pour se positionner afin de mieux s’accaparer de la fortune publique en disant à leurs frères du village de “se battre” quand en catimini ils vont avec l’argent des populations se soigner en Europe laissant mourir les leurs dans les hôpitaux du pays. C’est le même argent, l’argent de la politique comme on dit qu’ils distribuent lors des «descentes sur le terrain des élites»… pour mobiliser ces appels.
Ce sont donc ces élites menteuses et des tricheuses… assumées qui demandent à Paul Biya de se représenter. En fait que font-elles? Elles font ce qu’elles ont toujours fait; c’est à dire la politique. Sauf que cette fois ci, c’est à Paul Biya qu’elles font la polè. En d’autres termes ce théâtre des appels ne cache-t-il pas un G18 (entendez Groupe des élites qui voudraient prendre le pouvoir en 2018) qui ne doit surtout plus commettre les erreurs du G11? Paul Biya croyant que les élites lui demandent de se représenter, devrait en fait entendre qu’elles lui demandent de partir… Elles auraient compris en bons élèves, au fil des années comment “faire la polè” à Popol c’est à dire l’écarter.