Gateau national: La part de chaque département

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Mon, 15 Jun 2015 Source: camer.be

Comme il est de tradition, L’Oeil du Sahel publie une nouvelle fois, une édition spéciale consacrée à la répartition des postes de responsabilité entre les fils et filles des départements du Cameroun, dénommée «Partage du Gâteau national».

Comme critères de sélection, nous n’avons retenu que les fonctions civiles et militaires que nous estimons êtres les plus importantes de la République, et qui sont attribuées ou inspirées par le chef de l’Etat ou son Premier ministre.

C’est ainsi que les inspecteurs généraux et les conseillers techniques des ministères n’ont pas été pris en compte, tout comme les directeurs et assimilés dans les ministères et autres structures publiques et parapubliques, les préfets, les attachés aussi bien à la Primature qu’à la présidence de la République.

Il en est de même de certains postes de directeurs généraux, directeurs généraux adjoints et des présidents de conseil d’administration de certaines sociétés où l’Etat est certes actionnaire, mais n’intervient pas dans la désignation des organes dirigeants.

A contrario, les dirigeants de certaines sociétés dont le capital est certes détenu en majorité par des privés, mais où l’Etat conserve une présence stratégique par la désignation de certains responsables, sont pris en compte.

De manière simple, à côté des fonctions de membre du gouvernement et assimilés, de directeur général, de président de conseil d’administration, d’ambassadeur, de chargé de Mission à la présidence de la République et à la Primature, de responsable d’organisme d’Etat, etc., font également partie de cette grille de répartition toutes les personnes désignées directement ou indirectement par l’Etat à des fonctions de directeur général et président de conseil d’administration dans les sociétés publiques, parapubliques, privées, et même dans les organisations internationales.

Certains s’étonneront par exemple de la présence du PCA d’Eneo et de son DGA dans cette grille et pas du DG d’Eneo, du patron de la Sosucam ou du PCA de Camrail … A Eneo, bien que l’Etat ne soit par exemple pas majoritaire, il désigne cependant le PCA et le DGA, ce qui n’est point le cas de nombreuses ex sociétés d’Etat passées dans les mains des privés.

Pourquoi une édition spéciale ? En donnant dans la grille de chaque département les données démographiques de la population et les résultats électoraux enregistrés au cours des derniers scrutins, il se dégage qu’il n’existe aucune corrélation entre «effort électoral» et «récompense politique».

Les mieux lotis ne sont pas toujours les plus fervents soutiens du parti au pouvoir. La politique sous Biya est donc loin d’être une affaire de «Njangui» si chère à l’ancien Premier ministre Achidi Achu.

Ensuite, en comparant les éditions année après année, l’on constate que la «part» des départements varie très peu, en raison non seulement de la faible propension du chef de l’Etat à procéder à des nominations, mais davantage à une politique de «remplacement géographique».

Ainsi, le directeur général de l’Imprimerie nationale nouvellement nommé il y a quelques jours remplace tout simplement son frère du Dja et Lobo. De légères modifications sont parfois constatées lorsqu’arrive par exemple, une nouvelle personnalité au secrétariat général de la présidence de la République, plaque tournante des nominations au Cameroun. D’où le sourire actuel de la Haute Sanaga qui a vu sa fortune prendre du volume.

Enfin, cette édition spéciale qui survient quelques jours après la célébration de la fête de l’unité nationale est une invite à la justice et au partage, seule à même de renforcer le vivre ensemble.

Car, l’unité c’est aussi le sentiment de contribuer tous ensemble au développement du pays, où, les «promus» célèbrent d’abord leurs nominations dans leurs villages respectifs. Ne nous voilons pas la face : au Cameroun, comme le développement suit la route, le développement suit aussi les nominations !

Comme il est de tradition, L’Oeil du Sahel publie une nouvelle fois, une édition spéciale consacrée à la répartition des postes de responsabilité entre les fils et filles des départements du Cameroun, dénommée «Partage du Gâteau national».

Comme critères de sélection, nous n’avons retenu que les fonctions civiles et militaires que nous estimons êtres les plus importantes de la République, et qui sont attribuées ou inspirées par le chef de l’Etat ou son Premier ministre.

C’est ainsi que les inspecteurs généraux et les conseillers techniques des ministères n’ont pas été pris en compte, tout comme les directeurs et assimilés dans les ministères et autres structures publiques et parapubliques, les préfets, les attachés aussi bien à la Primature qu’à la présidence de la République.

Il en est de même de certains postes de directeurs généraux, directeurs généraux adjoints et des présidents de conseil d’administration de certaines sociétés où l’Etat est certes actionnaire, mais n’intervient pas dans la désignation des organes dirigeants.

A contrario, les dirigeants de certaines sociétés dont le capital est certes détenu en majorité par des privés, mais où l’Etat conserve une présence stratégique par la désignation de certains responsables, sont pris en compte.

De manière simple, à côté des fonctions de membre du gouvernement et assimilés, de directeur général, de président de conseil d’administration, d’ambassadeur, de chargé de Mission à la présidence de la République et à la Primature, de responsable d’organisme d’Etat, etc., font également partie de cette grille de répartition toutes les personnes désignées directement ou indirectement par l’Etat à des fonctions de directeur général et président de conseil d’administration dans les sociétés publiques, parapubliques, privées, et même dans les organisations internationales.

Certains s’étonneront par exemple de la présence du PCA d’Eneo et de son DGA dans cette grille et pas du DG d’Eneo, du patron de la Sosucam ou du PCA de Camrail … A Eneo, bien que l’Etat ne soit par exemple pas majoritaire, il désigne cependant le PCA et le DGA, ce qui n’est point le cas de nombreuses ex sociétés d’Etat passées dans les mains des privés.

Pourquoi une édition spéciale ? En donnant dans la grille de chaque département les données démographiques de la population et les résultats électoraux enregistrés au cours des derniers scrutins, il se dégage qu’il n’existe aucune corrélation entre «effort électoral» et «récompense politique».

Les mieux lotis ne sont pas toujours les plus fervents soutiens du parti au pouvoir. La politique sous Biya est donc loin d’être une affaire de «Njangui» si chère à l’ancien Premier ministre Achidi Achu.

Ensuite, en comparant les éditions année après année, l’on constate que la «part» des départements varie très peu, en raison non seulement de la faible propension du chef de l’Etat à procéder à des nominations, mais davantage à une politique de «remplacement géographique». Ainsi, le directeur général de l’Imprimerie nationale nouvellement nommé il y a quelques jours remplace tout simplement son frère du Dja et Lobo.

De légères modifications sont parfois constatées lorsqu’arrive par exemple, une nouvelle personnalité au secrétariat général de la présidence de la République, plaque tournante des nominations au Cameroun. D’où le sourire actuel de la Haute Sanaga qui a vu sa fortune prendre du volume.

Enfin, cette édition spéciale qui survient quelques jours après la célébration de la fête de l’unité nationale est une invite à la justice et au partage, seule à même de renforcer le vivre ensemble.

Car, l’unité c’est aussi le sentiment de contribuer tous ensemble au développement du pays, où, les «promus» célèbrent d’abord leurs nominations dans leurs villages respectifs. Ne nous voilons pas la face : au Cameroun, comme le développement suit la route, le développement suit aussi les nominations !

Comme il est de tradition, L’Oeil du Sahel publie une nouvelle fois, une édition spéciale consacrée à la répartition des postes de responsabilité entre les fils et filles des départements du Cameroun, dénommée «Partage du Gâteau national».

Comme critères de sélection, nous n’avons retenu que les fonctions civiles et militaires que nous estimons êtres les plus importantes de la République, et qui sont attribuées ou inspirées par le chef de l’Etat ou son Premier ministre.

C’est ainsi que les inspecteurs généraux et les conseillers techniques des ministères n’ont pas été pris en compte, tout comme les directeurs et assimilés dans les ministères et autres structures publiques et parapubliques, les préfets, les attachés aussi bien à la Primature qu’à la présidence de la République.

Il en est de même de certains postes de directeurs généraux, directeurs généraux adjoints et des présidents de conseil d’administration de certaines sociétés où l’Etat est certes actionnaire, mais n’intervient pas dans la désignation des organes dirigeants.

A contrario, les dirigeants de certaines sociétés dont le capital est certes détenu en majorité par des privés, mais où l’Etat conserve une présence stratégique par la désignation de certains responsables, sont pris en compte.

De manière simple, à côté des fonctions de membre du gouvernement et assimilés, de directeur général, de président de conseil d’administration, d’ambassadeur, de chargé de Mission à la présidence de la République et à la Primature, de responsable d’organisme d’Etat, etc., font également partie de cette grille de répartition toutes les personnes désignées directement ou indirectement par l’Etat à des fonctions de directeur général et président de conseil d’administration dans les sociétés publiques, parapubliques, privées, et même dans les organisations internationales.

Certains s’étonneront par exemple de la présence du PCA d’Eneo et de son DGA dans cette grille et pas du DG d’Eneo, du patron de la Sosucam ou du PCA de Camrail … A Eneo, bien que l’Etat ne soit par exemple pas majoritaire, il désigne cependant le PCA et le DGA, ce qui n’est point le cas de nombreuses ex sociétés d’Etat passées dans les mains des privés.

Pourquoi une édition spéciale ? En donnant dans la grille de chaque département les données démographiques de la population et les résultats électoraux enregistrés au cours des derniers scrutins, il se dégage qu’il n’existe aucune corrélation entre «effort électoral» et «récompense politique».

Les mieux lotis ne sont pas toujours les plus fervents soutiens du parti au pouvoir. La politique sous Biya est donc loin d’être une affaire de «Njangui» si chère à l’ancien Premier ministre Achidi Achu.

Ensuite, en comparant les éditions année après année, l’on constate que la «part» des départements varie très peu, en raison non seulement de la faible propension du chef de l’Etat à procéder à des nominations, mais davantage à une politique de «remplacement géographique».

Ainsi, le directeur général de l’Imprimerie nationale nouvellement nommé il y a quelques jours remplace tout simplement son frère du Dja et Lobo. De légères modifications sont parfois constatées lorsqu’arrive par exemple, une nouvelle personnalité au secrétariat général de la présidence de la République, plaque tournante des nominations au Cameroun. D’où le sourire actuel de la Haute Sanaga qui a vu sa fortune prendre du volume.

Enfin, cette édition spéciale qui survient quelques jours après la célébration de la fête de l’unité nationale est une invite à la justice et au partage, seule à même de renforcer le vivre ensemble.

Car, l’unité c’est aussi le sentiment de contribuer tous ensemble au développement du pays, où, les «promus» célèbrent d’abord leurs nominations dans leurs villages respectifs. Ne nous voilons pas la face : au Cameroun, comme le développement suit la route, le développement suit aussi les nominations !

Comme il est de tradition, L’Oeil du Sahel publie une nouvelle fois, une édition spéciale consacrée à la répartition des postes de responsabilité entre les fils et filles des départements du Cameroun, dénommée «Partage du Gâteau national».

Comme critères de sélection, nous n’avons retenu que les fonctions civiles et militaires que nous estimons êtres les plus importantes de la République, et qui sont attribuées ou inspirées par le chef de l’Etat ou son Premier ministre.

C’est ainsi que les inspecteurs généraux et les conseillers techniques des ministères n’ont pas été pris en compte, tout comme les directeurs et assimilés dans les ministères et autres structures publiques et parapubliques, les préfets, les attachés aussi bien à la Primature qu’à la présidence de la République.

Il en est de même de certains postes de directeurs généraux, directeurs généraux adjoints et des présidents de conseil d’administration de certaines sociétés où l’Etat est certes actionnaire, mais n’intervient pas dans la désignation des organes dirigeants.

A contrario, les dirigeants de certaines sociétés dont le capital est certes détenu en majorité par des privés, mais où l’Etat conserve une présence stratégique par la désignation de certains responsables, sont pris en compte.

De manière simple, à côté des fonctions de membre du gouvernement et assimilés, de directeur général, de président de conseil d’administration, d’ambassadeur, de chargé de Mission à la présidence de la République et à la Primature, de responsable d’organisme d’Etat, etc., font également partie de cette grille de répartition toutes les personnes désignées directement ou indirectement par l’Etat à des fonctions de directeur général et président de conseil d’administration dans les sociétés publiques, parapubliques, privées, et même dans les organisations internationales.

Certains s’étonneront par exemple de la présence du PCA d’Eneo et de son DGA dans cette grille et pas du DG d’Eneo, du patron de la Sosucam ou du PCA de Camrail … A Eneo, bien que l’Etat ne soit par exemple pas majoritaire, il désigne cependant le PCA et le DGA, ce qui n’est point le cas de nombreuses ex sociétés d’Etat passées dans les mains des privés.

Pourquoi une édition spéciale ? En donnant dans la grille de chaque département les données démographiques de la population et les résultats électoraux enregistrés au cours des derniers scrutins, il se dégage qu’il n’existe aucune corrélation entre «effort électoral» et «récompense politique». Les mieux lotis ne sont pas toujours les plus fervents soutiens du parti au pouvoir.

La politique sous Biya est donc loin d’être une affaire de «Njangui» si chère à l’ancien Premier ministre Achidi Achu. Ensuite, en comparant les éditions année après année, l’on constate que la «part» des départements varie très peu, en raison non seulement de la faible propension du chef de l’Etat à procéder à des nominations, mais davantage à une politique de «remplacement géographique».

Ainsi, le directeur général de l’Imprimerie nationale nouvellement nommé il y a quelques jours remplace tout simplement son frère du Dja et Lobo... De légères modifications sont parfois constatées lorsqu’arrive par exemple, une nouvelle personnalité au secrétariat général de la présidence de la République, plaque tournante des nominations au Cameroun. D’où le sourire actuel de la Haute Sanaga qui a vu sa fortune prendre du volume.

Enfin, cette édition spéciale qui survient quelques jours après la célébration de la fête de l’unité nationale est une invite à la justice et au partage, seule à même de renforcer le vivre ensemble.

Car, l’unité c’est aussi le sentiment de contribuer tous ensemble au développement du pays, où, les «promus» célèbrent d’abord leurs nominations dans leurs villages respectifs. Ne nous voilons pas la face : au Cameroun, comme le développement suit la route, le développement suit aussi les nominations !

Auteur: camer.be