'Il est temps': l'appel ultime de Michel Ngatchou à la jeunesse camerounaise

À la jeunesse Camerounaise, celle des réseaux sociaux, celle des cabinets noirs, celle qui ne se voit pas dans la république mais l’ethnie qui doit gouverner et diriger.

Je n’écris non pas en tant que journaliste, mais en tant que citoyen profondément préoccupé par l’avenir de notre nation pour ceux qui le lisent au quotidien sur cette page.

J’ai presque abandonné mes activités professionnelles (Événementielles) pour me consacrer à l’éducation des masses via les réseaux sociaux car l’heure étant grave, j’ai choisi de jouer à ma façon ma partition pour espérer un lendemain meilleur pour nos enfants et nous-mêmes.

Un cri s’élève de votre part aussi, un cri qui résonne de manière sourde et inquiétante, celui de l’oppression, la barbarie, la sauvagerie, le manque d’air du peuple que vous êtes. Un cri qui salue la présence de ceux qui, depuis 140 ans, ont confisqué notre destin malgré vous pour certains mais par ignorance pour d’autres.

Rester silencieux face à cette aberration est inacceptable surtout quand je lis cette jeunes zombifiée et perdue sur les réseaux sociaux.

Comment pouvez-vous, jeunesse camerounaise , célébrer ceux qui ont aliéné nos esprits et soumis notre peuple depuis 64 ans? Comment pouvez-vous soutenir ceux qui ne sont que les marionnettes d’un pouvoir étranger notamment la France 🇫🇷 ?

Savez-vous que vous êtes l’avenir de notre nation, et pourtant, vous semblez dormir? Que vos esprits ont été endoctrinés, vos consciences aliénées? Vous êtes devenus les outils de ceux qui vous exploitent.

Si vous ne vous réveillez pas, si vous ne vous libérez pas de ces chaînes mentales, vous deviendrez les bourreaux de vos propres enfants qui demain vont vous juger. Vous perpétuez là, un cycle de souffrance et de dépendance dont vous serez les premiers à souffrir.

Ne vous laissez plus manipuler par les discours haineux et les divisions tribales. Ces divisions ne sont que des outils pour vous maintenir divisés et faibles initiées depuis les années 40 par LOUIS PAUL AUDJOULAT. Quant aux élections, elles ne sont pas une fin en soi, mais un moyen de prendre notre destin en main.

Vous devez devenir le mur infranchissable contre lequel se briseront les tentatives de domination. Vous devez être la force motrice de la révolution, une révolution pacifique mais déterminée, qui nous permettra de reconquérir notre souveraineté et de construire un avenir meilleur pour tous.

Le peuple de notre pays a trop souffert et souffre en pire. Il est temps de mettre fin à cette souffrance. Il est temps de dire non à l’exploitation et à l’oppression. Il est temps de reprendre notre destin en main par notre lutte commune.

Je vous appelle à la révolte, à la rébellion contre un système qui vous opprime dans la paix et par les urne. Levez-vous, jeunes de notre pays, et faites entendre votre voix, car vous connaissez la voie, enfin qu’ensemble, qu’on voit.

Dès le 2 Janvier 2025, retour dans les antennes d’ELECAM avec force et vigueur, en octobre 2025, VOTE sanction, SURVEILLANCE, DÉPOUILLEMENT, PROCLAMATION BUREAU DE VOTE par BUREAU DE VOTE, DÉFENSE DE NOS RÉSULTATS et PRESSIONS SUR ELECAM et LE CONSEIL