'J'ai été courtisée par un gars laid, il a déformé mon v4gin en une journée'

Dans une confession intime publiée sur la page de l'activiste Fresnel, une jeune camerounaise de 25 ans affirme avoir été courtisée par un homme "laid", accusant ensuite ce dernier d'avoir détruit son v4gin en une seule journée. Ci-dessous les confessions de la jeune dame.

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"Salut ! Je suis Fresnel j'ai 25 ans, je viens dénoncer ces écervelés. Je suis une belle fille et j'ai été courtisé par un gars laid qui n'est pas mon goût, il a tellement insisté que j'ai décidé de bien le manger.

Il a une grande boutique, j’ai donc commencé à poser des problèmes de 50 mille chaque une semaine, il me donnait toujours. Dès que je vois une robe ou des tresses qui m'intéressent je lui dis et il décaisse à l'immédiat de peur que je ne me fâche. Il disait comment j'ai des jolies cuisses sans tâches, surtout que je suis claire, qu’il ne peut rien me refuser, mais chaque fois qu'il m'invitait chez lui, je me fâchais et il demandait les excuses.

Je venais juste dans sa boutique surtout quand j'ai un besoin. On a fait 6 mois il n'a jamais vu mon corps. L'autre jour il m'appelle dans sa boutique et me dit "Ma boutique chute bientôt à cause de toi" et c'est vrai sa boutique n'était plus chargée, j'ai fiasqué et je suis parti. Une semaine après il me dit qu'il a quelque chose pour moi pour se faire pardonner, j'arrive dans la boutique, il me montre une tenue de soirée classe avec un sac à main dans son téléphone, il dit que c'est chez lui. Nous sommes allés pour qu'il me donne.

Arrivés là-bas je vois 3 militaires sur sa véranda je les ai salués, on entre subitement les militaires entrent et parmi eux il y a son cousin, il me sort la liste de tout ce que le gars-là m'a déjà donné. Le montant était déjà à 756.500F CFA. Ils m'ont dit "tu choisis soit on casse tes pieds tu repars chez vous ou alors tu te livres à mon frère maintenant et toute suite". Ils avaient des yeux tout rouge avec une arme et les poignards sur eux, on sent qu'ils venaient de rentrer du front.

Un voulait déjà piqué mon pied j'ai crié "Je lui livre". Il était 9h, ils ont fermé la porte de la chambre sur nous disant, on a tout notre temps, il a donné un comprimé a son frère là. Il est monté sur moi a 9h30 et jouit à 14h. Mes fesses ont failli lâché".