Kamto à Etoudi : Jeune Afrique n'a pas dit toute la vérité

Le magazine français Jeune Afrique a mis fin à la polémique en révélant des détails du courrier que le président du MRC aurait transmis au président de la République Paul Biya. Le média a indiqué dans un article publié sur son site que Maurice Kamto se préoccupait de la situation de la presqu’île de Bakassi. Pour le lanceur d’alerte Chance Lion, Jeune Afrique ne dit pas la vérité.

Messieurs Mathieu Olivier et Georges Dougueli de Jeune Afrique, voyez-vous, il m'est difficile et certainement pour de nombreux autres camerounais, de croire en la véracité de votre article sur les raisons de l'irruption en plein jour, de Monsieur Maurice Kamto, Avocat et Président National du MRC au Palais de L'unité de Yaoundé. Vous évoquez dans votre article l'affaire de la Presqu'île de BAKASSI qui aurait motivé Me Maurice Kamto à se rendre au palais d'Etoudi.

Selon le Communiqué Officiel du MRC, repris dans votre article il n'était nullement question de POLITIQUE encore moins D'AFFAIRES INTÉRIEURES du Pays, mais de BAKASSI. J'ai déjà tourné dans tous les sens, comment L'affaire BAKASSI peut ne pas être une AF-FAIRE POLITIQUE et de surcroît D'AFFAIRE INTÉRIEURE DU PAYS, je ne vois pas. Car l'essence même du dossier BAKASSI est D'abord POLITIQUE, qui s'est résolu POLI-TIQUEMENT, ensuite relève d'une AFFAIRE INTERNE A NOTRE PAYS avec des Rami-fications dans un pays voisin.

Donc soutenir que, KAMTO se serait rendu à ETOUDI, pour l'affaire BAKASSI, et que cette affaire n'a rien à voir avec la Politique et des affaires intérieures de la nation, ne tient pas la route. Trouvez nous autre chose pour justifier sa présence au Palais D'Etoudi.

D'aucune disent qu'il est allé négocier les SÉNATORIALES, d'autres disent qu'ils sollicite le soutien de L'Etat du Cameroun, quant à sa Candidature au Poste de Juge à La Cour Interna-tionale de Justice qu'il avait déjà raté en 2008, de toutes les façons, ça va se savoir d'ici là. Entre temps, nous les HI-BOUX, qui avons les facultés de voir dans le noir, nous voyons ce qui se dessine à l'horizon.