Alors que le Pdg d'Express Union n'est ni près ni de loin concerné par les opérations, des personnes qui voient la lune partout et en toute heure, ont prétendu que le parlementaire a perçu des droits de déguerpissement sur un immeuble bâti au quartier Eboundja 2 de la ville balnéaire. Une ubuesque et infantile calomnie qui fond comme beurre au soleil après l'enquête menée par Camer.be.
En 2010, alors que le processus de recensement et d'évaluation en vue des déguerpissements relatifs à la construction du Port autonome de Kribi (Pak) bat son plein, l'Honorable Albert Kouinche, avons-nous appris, reçoit une lettre du sous-préfet de Kribi 1er, Jean Hubert Bessala. A l'origine de cette lettre de l'administrateur civil, nous confie-t-on, des informations erronées selon lesquelles l'immeuble N° 107 et bâti au quartier Eboundja 2, est la propriété du Pdg d'Express Union, l'entreprise leader du transfert d'argent au Cameroun.
Une dénonciation calomnieuse et mensongère qui amènera le sous-préfet, à demander à l'homme d'affaire à la probité irréprochable, de bien vouloir s'approcher de ses services, afin de faire connaître le montant de l'investissement de l'immeuble qui lui a été attribué par des ennemis décidés à nuire à son image.
Le député Rdpc dit-on, répond alors au patron du 1er arrondissement de Kribi, qu'il n'est ni propriétaire ni ayant droits de l'immeuble N° 107 du quartier Eboundja 2, dans une lettre qu'il lui adresse le 08 février 2010.
Avec l'insistance des calomniateurs que décidément rien ne rebute, l'Honorable Albert Kouinche, le 07 avril 2011, écrit au ministre des Domaines, du Cadastre et des Affaires foncières, pour lui clarifier que l'immeuble N° 107 d'Eboundja 2 à Kribi, ne lui appartient point. Une démarche somme toute curieuse de la part de ces dénonciateurs d'un genre nouveau. Inventivité et créativité qui a conduit votre journal à se poser des questions de fond.
D'autre part, il nous a été donné de remarquer que tous les immeubles abritant les agences d'Express Union du reste essaimées jusque dans les coins reculés du pays, n'appartiennent pas forcément au député du Khoung-Khi, région de l'Ouest. Hypothèse qui aurait peut-être alors essaimé les détracteurs et ennemis de l'homme d'affaires.
Primo : Quel est, ce type de bienveillance, qu'avaient alors eu les uns et les autres, pour aller déclarer à l'autorité administrative, l'appartenance d'un immeuble par le Pdg d'Express Union, afin que ce dernier, fût dédommagé pour déguerpissement ?
Secundo : Comment, un propriétaire d'immeuble, n'ayant aucun conflit avec la Justice pour relations incestueuses avec des fonds publics, se débinerait-il de son bien pour lequel il doit percevoir des dommages ?
Tertio : Comment, un parlementaire, un homme d'affaires à l'envergure internationale, ayant huissiers et avocats à son service, ne saurait se faire réparer des dommages ? Albert Kouinche serait-il subitement devenu un enfant ou une personne ayant perdu ses sens pour qu'on allât signaler à sa place qu'il est le propriétaire d'un immeuble ?
A la lumière de ces question de fond qui ont rencontré le travail de recoupement effectué par votre journal, il est clair et évident que des ennemis de petite semelle, des délateurs du dimanche, ont voulu porter un coup à la réputation du député Albert Kouinche. Un manager à la morale droite et saine. Ce genre de personnalités modèles dont le Cameroun a besoin pour atteindre le cap de l'émergence.