La religion a toujours fait l’objet de débats sur les places publiques depuis des années. La Bible, l’histoire de Jésus-Christ, la tradition, la spiritualité, les origines de la Bible, etc. sont autant de thèmes qui divisent. L’avocat international Me Christian Bomo Ntimbane a écrit un texte dans lequel il parle de la Bible et d’une vérité qui a longtemps été caché aux fidèles.
Mise au point sur un des plus grands mensonges des kemites sur la Bible
Plusieurs parmi vous sont dans la confusion, ou ont des doutes sur l'authenticité de la Bible.
En effet, de nombreux chercheurs, anthropologues et égyptologues, multiplient des informations sur internet pour démontrer que les faits et histoires de la bible ont été copiées dans la spiritualité égyptienne antique.
Ils y apportent même des preuves archéologiques sur l'antériorité des textes égyptiens anciens qui relatent des histoires ressemblant curieusement à celles qui sont dans la bible, apparue des millénaires après.
C'est le cas de la vie de notre Seigneur Jésus-Christ et de Marie qui ressemble étrangement à celle de Osiris et Isis des divinités égyptiennes.
En réalité, Dieu a révélé aux hommes de différents peuples, après le péché d'Adam qu'il enverra son fils sur terre au travers d'une jeune fille, lequel viendra sauver l'humanité.
Cette connaissance était véhiculée de générations en générations au sein de divers peuples du monde entier.
Les Egyptiens maîtrisant l'écriture et les papyrus ont simplement été les premiers à l'immortaliser sur des pierres et des papyrus. C'est pourquoi, l'on peut penser qu'ils en sont les auteurs.
Or cette révélation de la venue du fils sauveur n'était pas l'apanage des seuls Egyptiens. Ils n'en ont pas l'antériorité. Ils ont seulement la preuve matérielle. Car écrite et conservée sur du papyrus.
Alors que les autres la conservaient par la tradition orale, de générations en générations. Dans ma tradition par exemple, cette histoire de la jeune femme qui engendrera un fils guerrier, sauveur de l'humanité est transmise dans des récitals par les conteurs de l'instrument musical antique appelée Mvet.
Ils évoquent une jeune du nom d'Angoneman ou fille de la beauté lunaire qui engendrera le fils du Dieu créateur Eyo, lequel sera prince, roi et grand guerrier ayant pour mission de sauver notre peuple.
Le peuple israélite avait aussi cette promesse. Les prophètes la leur ont transmise de générations en générations jusqu'à ce qu'elle s'accomplisse. Même s'ils l'ont écrit plus tard sur des papyrus par rapport à l'Egypte.
D'où l'impression qu'ils ont recopié cette révélation en Egypte antique. Ils la transmettaient aux générations successives par voie orale.
D'ailleurs la plupart d'entre eux, devenus juifs continuent d'attendre la venue de ce sauveur ou messie. Conclusion : L'histoire de Jésus-Christ n'a pas été copiée en Egypte.
Tous les peuples après Adam savaient que Dieu allait envoyer son fils sauver l'humanité. Même si chacun la racontait à sa manière.
Les Egyptiens ont seulement eu l'avantage d'être les premiers à écrire cette histoire racontée à leur façon sur du papier et les pierres, tandis que les autres peuples la transmettaient d'abord oralement de générations en générations avant de l'écrire. C'est le cas des israélites desquels nous détenons les écrits de l'ancien testament.
D'autres similitudes entre les écrits bibliques et les écrits égyptiens obéissent à cette même logique.