La toute première nomination opérée par Issa Tchiroma, un homme politique d’origine MUSULMANE qui prétend incarner le renouveau, soulève une inquiétude profonde : il choisit comme première figure une femme de 81 ans, connue essentiellement et UNIQUEMENT pour sa promotion acharnée et sa défense du Woubïsme, c'est-à-dire le fait pour un homme, un BANTU de se faire bourrer le derrière le derrière par un homme ou une femme (pour la femme c'est avec ce qu'ils appellent objets sexuels en forme du truc).
Oui, 81 ans, Oui, militante assumée d’une idéologie qui n’a rien à voir avec les VALEURS TRADITIONNELLES héritées des PÈRES FONDATEURS de Notre Grande Nation et encore moins de prioritaire pour la jeunesse camerounaise.
- On parle de “nouvelle ère”, on promet un “nouveau départ”, mais quand il s’agit d’agir, on nomme une personnalité qui n’a jamais affiché ne serait-ce qu’un minimum d’attachement symbolique au Cameroun. Car, je mets quiconque au défi de trouver une seule photo de cette femme avec le drapeau camerounais. Par contre, je peux en montrer mille où elle arbore fièrement le drapeau des Woubi. Voilà la vérité nue. Un signe de soumission aux réseaux Woubi.
- Personne ne doit se tromper, Tchirochou est sous influence des réseaux Woubi, extrêmement actifs et organisés, ont clairement pris la main sur son entourage, sur ses décisions, et sur son agenda politique. Et cette nomination en est la démonstration la plus éclatante.
- Dans l’une des photos prises dans son bureau, un détail saute aux yeux un détail que beaucoup ont remarqué. Derrière elle, tel un ange gardien, se trouve un portrait accroché au mur.
On aurait pu croire qu’il s’agissait d’un héros indépendantiste camerounais.
On aurait pu espérer y voir Um Nyobè, Ernest Ouandié, Félix-Roland Moumié, ou tout autre figure nationale. Mais non. C’est le portrait de Jacques Chirac, ancien président français. L’homme symbole de la continuité de l’influence néocoloniale en Afrique francophone. C’est un aveu. Un message subliminal. Un signe clair d’alignement.
Cette succession de choix n’est pas une erreur. Ce n’est pas un hasard. C’est une stratégie d’infiltration idéologique, orchestrée par des réseaux qui n’ont rien à voir avec la souveraineté nationale.
- Quant à Mon Nyandom, le Petit Adjoint au Maire, que l'on Présente déjà comme Maire Titulaire, alors qu'il n'est qu'Adjoint, la stratégie de Alice Nkom derrière cette enfant, c'est de le Présenter aux réseaux EAUX MAUX SEKSUELS afin de bénéficier des financements de ces réseaux pour sa campagne, ainsi, si par miracle il est élu Maire, il va en retour aller en guerre contre la République, contre L'état et vouloir hisser le Drapeau des EAUX MAUX SEKSUELS devant la mairie à côté du Drapeau du Cameroun. Ce qui serait une très grande victoire pour NKOM et ses réseaux…
Ce qui se joue ici avec le petit Biyong dépasse les personnes. Cela touche à la SÉCURITÉ CULTURELLE et INSTITUTIONNELLE du CAMEROUN. Il ne s'agit pas de simples divergences politiques, mais d'une tentative organisée d'implanter dans l'espace public des réseaux qui ne reconnaissent ni l'héritage des Pères fondateurs, ni l'autorité de l'État, ni la souveraineté du Cameroun.