La voie qui mène à la libération du Cameroun sera longue aussi longtemps que ceux qui y travaillent le feront avec le cœur, les mains et les pieds tremblants, et avec un esprit tricheur, menteur et surtout hypocrite. Les maux dont souffre ce pays sont tels que ne pas avoir le courage de voir et dire nettement tout ce dont il souffre avant le traitement nous conduira toujours à la case de départ.
Dans le texte « L’idée d’une guerre civile au Cameroun crée l’hystérie et la peur agressive chez des bourreaux », la source interne de nos malheurs est évoquée en ces termes : « Plus froissante et révoltante aujourd’hui au Cameroun est l’attitude de ceux qui ont plongé ce pays aux aspects édéniques dans tous les vices et fléaux de la terre et l’ont géré depuis plus de trois décennies (voire plus d’un quart de siècle) comme une propriété familiale : Famille RDPC ou famille du Centre et du Sud. C’est de là et de là seulement que tout est organisé, géré et façonné, dans ce pays qui regorge de si grandes ressources et de grands talents. »
Ce « ou » peut être inclusif ou exclusif, mais les agents de la haine n’y voient rien. Quand jadis Charles Ateba Eyene a parlé du « Pays Organisateur » avec toutes ses contradictions, l’on ne l’a pas déclaré tribaliste par rapport à ce point de vue. Mais parce que je ne suis ni du RDPC ni du Centre ni du Sud et que des gens sont mus par des raisons diverses inavouées, ils y voient un scandale. Non, le Cameroun est mien, et le Sud et le Centre aussi miens.
Cette expression « Famille RDPC ou famille du Centre et du Sud » a déclenché la colère et l’animosité vindicatives chez certains psychopathes qui, faute de courage, et ne parlant qu’avec les têtes enfouies dans l’anonymat ou dans des sobriquets, m’ont traité de tous les noms d’oiseaux.
Si ces gens sont des hommes avec deux testicules, s’ils sont courageux tels qu’ils le prétendent, alors qu’ils jettent leurs masques et s’attaquent à mes idées à découvert. Qu’ils produisent et signent de contre-textes de leurs vrais noms, au lieu de rester des acteurs d’ombre ou des parasites sur le travail des autres.
L’un d’entre eux depuis le Canada (grand tribaliste et sous-fifre d’un autre qui a échoué dans les affaires et en politique et a persécuté et livré d’anciens Etudiants Parlementaires aux services secrets de certains pays, et humilié sa femme avec un enfant adultérin) n’a jamais cesser de dire qu’il est en préparation de la libération du Cameroun.
Mais écoutez ! La libération du Cameroun, c’est maintenant ou jamais ! Ce n’est pas demain et ce n’est pas de l’extérieur à des milliers de kilomètres ! J’ai peur que ce ne soit le chant de l’escargot qui chantonne que demain il s’élèvera et courra. J’espère qu’après l’Europe et le Canada, cet hypocrite ne se retrouvera pas en Australie ou en Asie.
Au Cameroun nous faisons face à une gestion exclusive des ressources humaines et matérielles à tous les niveaux, et ceux qui osent le nier sont autant dangereux que ces forces néocoloniales au pouvoir. Le pouvoir RDPC conduit une gestion exclusive et non inclusive dans ce pays.
Et de même que les Blancs ne dirigent plus ce pays mais ont choisi de s’accrocher aux traîtres pour le ponctionner et l’infester de tous les vices, longtemps au niveau du RDPC ont été choisis des cadres de toutes les régions du pays, dont la majorité en réalité n’étaient que des valets faisant ce qui est décidé par un noyau fort des élites du Pays Organisateur.
La voie qui mène à la libération du Cameroun sera longue aussi longtemps que ceux qui y travaillent le feront avec le cœur, les mains et les pieds tremblants, et avec un esprit tricheur, menteur et surtout hypocrite. Les maux dont souffre ce pays sont tels que ne pas avoir le courage de voir et dire nettement tout ce dont il souffre avant le traitement nous conduira toujours à la case de départ.
Dans le texte « L’idée d’une guerre civile au Cameroun crée l’hystérie et la peur agressive chez des bourreaux », la source interne de nos malheurs est évoquée en ces termes : « Plus froissante et révoltante aujourd’hui au Cameroun est l’attitude de ceux qui ont plongé ce pays aux aspects édéniques dans tous les vices et fléaux de la terre et l’ont géré depuis plus de trois décennies (voire plus d’un quart de siècle) comme une propriété familiale : Famille RDPC ou famille du Centre et du Sud. C’est de là et de là seulement que tout est organisé, géré et façonné, dans ce pays qui regorge de si grandes ressources et de grands talents. »
Ce « ou » peut être inclusif ou exclusif, mais les agents de la haine n’y voient rien. Quand jadis Charles Ateba Eyene a parlé du « Pays Organisateur » avec toutes ses contradictions, l’on ne l’a pas déclaré tribaliste par rapport à ce point de vue. Mais parce que je ne suis ni du RDPC ni du Centre ni du Sud et que des gens sont mus par des raisons diverses inavouées, ils y voient un scandale. Non, le Cameroun est mien, et le Sud et le Centre aussi miens.
Cette expression « Famille RDPC ou famille du Centre et du Sud » a déclenché la colère et l’animosité vindicatives chez certains psychopathes qui, faute de courage, et ne parlant qu’avec les têtes enfouies dans l’anonymat ou dans des sobriquets, m’ont traité de tous les noms d’oiseaux.
Si ces gens sont des hommes avec deux testicules, s’ils sont courageux tels qu’ils le prétendent, alors qu’ils jettent leurs masques et s’attaquent à mes idées à découvert. Qu’ils produisent et signent de contre-textes de leurs vrais noms, au lieu de rester des acteurs d’ombre ou des parasites sur le travail des autres.
L’un d’entre eux depuis le Canada (grand tribaliste et sous-fifre d’un autre qui a échoué dans les affaires et en politique et a persécuté et livré d’anciens Etudiants Parlementaires aux services secrets de certains pays, et humilié sa femme avec un enfant adultérin) n’a jamais cesser de dire qu’il est en préparation de la libération du Cameroun.
Mais écoutez ! La libération du Cameroun, c’est maintenant ou jamais ! Ce n’est pas demain et ce n’est pas de l’extérieur à des milliers de kilomètres ! J’ai peur que ce ne soit le chant de l’escargot qui chantonne que demain il s’élèvera et courra. J’espère qu’après l’Europe et le Canada, cet hypocrite ne se retrouvera pas en Australie ou en Asie.
Au Cameroun nous faisons face à une gestion exclusive des ressources humaines et matérielles à tous les niveaux, et ceux qui osent le nier sont autant dangereux que ces forces néocoloniales au pouvoir. Le pouvoir RDPC conduit une gestion exclusive et non inclusive dans ce pays.
Et de même que les Blancs ne dirigent plus ce pays mais ont choisi de s’accrocher aux traîtres pour le ponctionner et l’infester de tous les vices, longtemps au niveau du RDPC ont été choisis des cadres de toutes les régions du pays, dont la majorité en réalité n’étaient que des valets faisant ce qui est décidé par un noyau fort des élites du Pays Organisateur.
© monsieur-des-drapeaux.com
Le drapeau camerounais, un des symboles nationaux. Est-ce à dire que les populations du Pays Organisateur vivent mieux que les autres Camerounais ? Certainement non. C’est au Centre et au Sud parfois par endroits que l’on a des misères et pauvretés adipeuses de ce pays. C’est là où l’on rencontre camer.be des cases et des écoles croulantes en piquets garnis de mottes de terre, quand ce ne sont des paysans munis d’instruments rudimentaires pour s’attaquer aux travaux champêtres.
Les élites les utilisent simplement la plupart de temps, et l’on se rend compte que chez ceux qui pratiquent une gestion non inclusive au niveau national, il y a encore de l’exclusion interne systématique et systémique chez l’ « Organisateur ». Ceux qui disent que l’on veut dresser 8 régions contre 2 mentent ; il y a dix régions à sauver ; il y a le Cameroun à libérer.
Ces vermines qui jabotent qu’ils veulent libérer le pays et n’ont ni le courage ni la capacité de faire une telle lecture de notre société sont tout juste des imposteurs et aveugles qui ambitionnent de conduire des borgnes. Ce sont des gens peut-être assez courageux, mais négativement, qui ferment les yeux sur des guêpes sans la moindre gêne et sans en manifester la moindre douleur.
L’Etat camerounais demeure tribal. Les pratiques tribales de cet Etat se lisent à tous les niveaux. Ce sont des pratiques qui émasculent et empêchent ce pays étonnamment riche d’avancer. Mais dès que l’on en parle, des hypocrites sautent et crient : « O il veut diviser le pays. O regardez un intellectuel ? Il est contre telle et telle régions. Il déteste les ceci et les cela… Cela n’engage que lui … » Quand du dehors ces âmes fardent la vérité, que feraient-ils une fois au pouvoir ?
Parler de ces sales pratiques tribales de l’Etat RDPC au pouvoir et de la gestion exclusive qui se pratiquent au Cameroun et les dénoncer ne revient pas à haïr et déclarer ou faire la guerre à certaines régions du pays comme le prétendent certains esprits retors, rétrogrades et vaniteusement caustiques. Il est plutôt question ici de réapprendre et d’accepter d’alimenter les veines de la nation avec de la justice pour lui permettre une croissance en puissance.
En privé, ils disent ce que je dis, sauf qu’ils veulent combattre le monstre de tribalisme avec le tribalisme ou rester hypocrites en attendant peut-être leur tour au pouvoir et recourir aux mêmes pratiques ; ma préoccupation est que s’efface ce monstre et que les Bill Gates et Einstein camerounais naissent et croissent et aient les conditions et la chance de porter ce pays au faîte de la puissance et de la gloire. Voilà où se situe tout mon combat.
Ainsi sont les lâches. Ils sont de la même « doctrine » que ces gens qui, dès que quelqu’un dénonce les pratiques oppressives et crimes d’Israël contre d’autres peuples, ils l’étiquettent immédiatement comme un ennemi des Juifs. Mais voyons ! Cela n’arrange rien. camer.be Cela contribue plutôt à fortifier les injustices supposées être réparées, et à empirer la situation des victimes et des bourreaux à la longue.
Je ne suis pas politicien et n’entends pas l’être. Je n’ai jamais été membre d’un quelconque parti politique et n’entends pas l’être. J’estime qu’on peut donner beaucoup au Cameroun et à l’Afrique sans nécessairement passer par la politique. C’est pourquoi le politiquement correct ou incorrect reste le cadet de mes soucis.