Celui qui combat pour ses droits peut perdre ou gagner, mais celui qui refuse de combattre parce que tétanisé par la peur, subira l’injustice toue sa vie et la transmettra à sa descendance.
Depuis 1945, la France s’inspire du régime qu’elle a subi pendant l’occupation des Nazis, ceux-là dont les médias et les livres scolaires décrivent à travers la SHOAH, les pires horreurs, pour asseoir sa domination sur ses anciennes colonies africaines, les collaborateurs de cette imposture d’origines africaines obtiennent des avantages personnels (octroi facile des visas pour la France, nationalité française, accès aux soins et évacuations sanitaires), chargés d’endormir les peuples avec des discours défaitistes, afin de persuader les peuples que sans le franc CFA, la vie serait pire dans ces pays qui se font racketter par les banquiers français 50 % de leurs recettes d’exportations, afin de garantir l’arrimage de cette monnaie de singes à l’Euro.
Ainsi, depuis 1960 que ces pays sont soi-disant indépendants, malgré les milliers d’économistes formés en Occident, ils n’ont toujours pas décidé de se saisir de ce qui fait la souveraineté d’un Etat, comment comprendre cet immobilisme des Chefs d’Etats depuis 55 ans alors que les intellectuels africains le réclament à cors et à cris ?
Le débat sur le franc CFA a été longtemps tabou, ceux qui l’ont ouvert les premiers parmi lesquels le Professeur Tchuingang Pouémi ont disparu prématurément, c’est dire que la mafia des banquiers français exerce un terrorisme d’Etat depuis 1960, afin de préserver cette manne qui les engraisse infiniment.
Certains intellectuels prétendent que les Chefs d’Etats de la zone CFA toucherait pour eux-mêmes et à titre strictement personnel, une partie de l’argent racketté aux peuples, afin de maintenir le statu quo sur cette question, la chaîne panafricaine AFRIQUE-MEDIAS fait aujourd’hui au Cameroun l’objet d’un harcèlement des pouvoirs publics, motif invoqué, l’outrage fait aux personnalités étrangères, en l’occurrence les dirigeants français, on est en droit de se poser des question sur les motivations cette attitude qui consiste à réprimer tous ceux qui défendent les intérêts du peuple, ce cher pays où les fonctionnaires occupent la quasi-totalité des postes politiques, sans oublier la Présidence de la République, occupée par un ancien fonctionnaire.