Donnez-moi le pouvoir de créer la monnaie dans un état et peu m’importe qui en fait les lois » Mayer Anschel Rothschild 1744-1812, fondateur de la dynastie banquière Rothschild.Celui qui fabrique la monnaie a le pouvoir sur ceux qui s’en servent, et lorsque ce privilège échappe à des états pour être concédé à des privés, c’est comme si on autorisait des faux monnayeurs de fabriquer autant d’argent qu’ils veulent à partir des simples lignes d’écritures, sans la moindre compensation et de le prêter avec des intérêts à des consommateurs qui en fait deviendront leurs esclaves, grâce à ces intérêts qui ne se justifient pas, exactement comme des empereurs qui prélevaient des impôts à des paysans grâce à la répression de leurs armées, sans aucune contrepartie.
C’est ainsi que les dettes souveraines des états qui empruntent sur les marchés croissent de façon exponentielle, les ressources des pays sont confisquées au détriment des populations qui n’ont tiré aucun profit de ces endettements, dans la zone CFA, aucun pays ne possède des ressortissants réellement milliardaires grâce aux industries locales de transformation des matières premières comme le Nigérian Ali DANGOTE, ce sont les entrepreneurs français qui se font prêter de l’argent par leurs banques mais seulement pour des projets agricoles de culture de produits demandés par le marché européen comme la banane, les actionnaires étant eux-mêmes des Français, les Camerounais n’état que des esclaves de ces plantations sans aucune couverture sociale, utilisant des pesticides interdits en Europe et s’empoisonnant en toute connaissance de cause, et lorsque certains employés deviennent handicapés du travail jamais reconnus, ils meurent rapidement parfois avant l’âge de 45 ans .
Aucune entrepreneur Africain de la zone CFA ne peut obtenir des banques de cette zone monétaire un prêt pour financer un projet industriel capable de rivaliser avec les industries européennes, le but du franc CFA est de faire d’eux de perpétuels esclaves, l’argent étant fabriqué par des étrangers qui ont pour mission de maintenir la paupérisation, afin de continuer à se servir grassement sur les ressources de ces pays sans avoir à rendre le moindre compte, pour cela, l’armée française éternellement stationnée en Afrique veille sur la bonne santé des dictateurs qui profitent personnellement de ce scandale, prête à intervenir comme lors de la révolution des jasmins en Tunisie, on se souvent que la Ministre Michelle Alliot Marie avait proposé en direct de l’Assemblée Nationale à Paris l’expertise de la France pour réduire au silence et pour longtemps ce peuple tunisien qui exprimait son ras-le-bol de l’oligarchie du clan Ben Ali.
Le Franc CFA est une arme terroriste contre les peuples qui l’utilisent, aucun débat n’est autorisé dans ces pays qui sont obligés par les pions de la France de s’en servir, le compte d’opération géré une mafia confisque 50 % des recettes d’exportations de ces pays, sans que les populations aient le droit d’en parler ou de s’en indigner, et pour cause, les oligarchies régnantes dans ces pays sont presque tous des citoyens Français, jusqu’au plus hauts sommets des états, d’ailleurs comme le dit l’adage, qui peut le plus peut le moins, lorsque des Chefs d’Etats comme le Français Alassane Ouattara qui dirige la Côte d’Ivoire de nos jours ne sont même pas Ivoiriens, et qu’on sait que depuis la capture et son extradition vers la CPI de La Haye de Laurent Gbagbo le vrai fils du pays, comme la reine Ranavalona de Madagascar, les millions d’Ivoiriens sont contraints à l’exil par les étrangers qui squattent leurs terres, exactement comme les Palestiniens ayant fui la première guerre israélo-arabe en 1947, n’ont plus eu le droit de retourner chez eux, désormais squattés par les vainqueurs armés par les Britanniques, qui ne souhaitaient pas que les Arabes fussent un jour indépendants malgré la promesse d’un grand royaume arabe incluant toute la Palestine, faite au Chérif Hussein en 1915 par Lord Mc Mahon pour leur contribution dans la défaite de l’Empire Ottoman, on peut comprendre que nous les peuples tous pays confondus, ne sommes qu’un grand troupeau de moutons, que les banquiers mènent tout droit vers l’abattoir, grâce aux oligarchies déguisées en démocraties.