Les 'dictateurs' africains utilisent l'armée pour massacrer leurs populations

Arrivé au pouvoir aux Philippines le 30 juin 2016, Rodrigo DUTERTE, qualifié de dictateur et soupçonné par l'opposition de vouloir modifier la constitution pour s'éterniser au trône , a répliqué en donnant des consignes à son armée : ? Si je reste longtemps et je veux devenir dictateur, tirez sur moi, je ne plaisante pas.

C'est votre travail de protéger la constitution et de protéger les gens. Souvenez- vous, c'est votre devoir solennel ?. Dans les bastions des dictateurs d' Afrique noire, l'armée protège plutôt les dictateurs falsificateurs de la constitution et tire sur les populations. À chaque manifestation au Tchad, DÉBY DÉBILE envoie ses forces de sécurité écraser les Tchadiens. SASSOU NGUESSO, le zozo qui a été expulse? par TRUMP par la porte du vestiaire, a ordonne? a? son arme?e de tuer tout ce qui bouge, qu'il lui manque maintenant le travail.

BIYA, l'ancien se?minariste que Dieu a exclu de sa liste des serviteurs, a créé le BIR, non pas pour vaincre BOKO HARAM, mais pour écraser les civils anglophones. KABILA , l'ancien taximan du chanteur DEFAO, a transformé son armée en milice rwandaise et autres mercenaires pour exterminer les chrétiens et civils congolais. CONDÉ MAGELLAN, le vagabond professeur en mensonges , décidé à modifier la constitution pour un troisième mandat, envoie ses forces de sécurité s'entraîner pour les tirs à balles réelles contre les civils guinéens à chaque manifestation.

GNASSINGBE, le plus bête des dictateurs, envoie son armée prix Nobel des cons, d'aller tuer les vaches, boeufs, moutons attachés pour ? trouble à l'ordre de la modification de la nouvelle constitution ?. NKURUNZIZA le demi-e?cervele? qui se croit frère jumeau de Jésus CHRIST, a confisqué le Burundi comme sa propriété en piétinant la constitution grâce aux voyous de son armée. Le général aux galons de sauvageons Ould ABDELAZIZ, à la tête de la Mauritanie, a décidé de modifier la constitution sous les applaudissements de toute l'armée.

EN AFRIQUE, L'ARMÉE NE PROTÈGE PAS LES INSTITUTIONS, MAIS LES DICTATEURS.