Les sept péchés capitaux de Maurice Kamto

Panafricaniste, il est Commandeur de l’ordre de la valeur du Niger et Chevalier des Palmes académiques du Conseil Africain et Malgache de l’Enseignement Supérieur (CAMES), Chevalier de l’ordre de la valeur du Cameroun

01 – Maurice KAMTO n’a jamais rien fait pour le Cameroun. Il n’était que porteur de sac de Paul BIYA dans le dossier BAKASSI

Premièrement dans le dossier de Bakassi, le gouvernement camerounais a ignoré l’existence d’un expert sur les sujets du droit international public, et est allé chercher un cabinet européen, c’est ce dernier qui leur fait savoir que leur spécialiste dans le domaine est camerounais, le professeur Maurice Kamto. Maurice Kamto est l’un des 34 membres de la commission du droit international des Nations unies, commission dont il est l’actuel président. Avant la crise de Bakassi, Maurice est régulièrement invité par plusieurs universités occidentales et africaines. Il est membre du jury du concours d’entrées de plusieurs institutions. Notons que Kamto est le pionnier du droit international au Cameroun.

Pourquoi ce dernier était marginalisé par le pouvoir de Yaoundé ?

Simplement parce qu’il a toujours été opposant au système néocolonial incarné par les dirigeants camerounais, très peu de camerounais savent que Kamto fut leader d’un mouvement d’étudiants au Cameroun et initiateur d’une grève à l’université alors que le ministre Adamou Ndam Njoya souhaitait une licence en trois ans dans toutes les facultés sauf juridiques, Mr Kamto le faisait alors qu’il était en 4eme année.

Très peu de gens savent que le professeur Maurice Kamto qui préfère se faire appeler Maurice fut le premier universitaire à se prononcer publiquement pour le candidat de l’Union pour le changement en 1992 dont le leader était John Fru Ndi, qu’il n’avait jamais rencontré de sa vie.

02 – Maurice KAMTO a été Ministre dans la mangeoire de Paul BIYA. Il a mangé à la table du diable

Un ministère est-il une mangeoire ou tout simplement une confiance de l’état ? Maurice est sollicité dans le gouvernement parce qu’il faut rédiger un nouveau code de procédure pénale Cameroun avait besoin une fois de plus de son expertise, il ne pouvait pas refuser, pour preuve, après sa démission come ministre, il va écrire plusieurs fois aux responsables universitaires pour retourner enseigner, RIEN.

Si Kamto avait touché cinq francs de l’Etat du Cameroun, il serait poursuivi par le rouleau compresseur de l’oppression, pour preuve, on l’accuse d’avoir détourné 14 milliards de l’état prétextant que c’était un marché pour la rédaction du code pénal.

03 – Maurice KAMTO a envoyé les militaires tuer des jeunes qui manifestaient contre la modification de la constitution le 28 Février 2008

Maurice était ministre délégué à la justice or un ministre délégué ne commande pas les chefs de terres ?Kamto était-il si puissant qu’il aurait décidé à la place de ses collègues de l’administration territoriale, SG à la présidence, etc… Pour être celui qui va donner l’ordre de tuer les jeunes ?

04 – Maurice KAMTO a volé 14 milliards au Trésor Public Camerounais

Mettez-le donc en prison s’il a volé 14 Milliards à l’ETAT, son cabinet l’a sollicité pour la rédaction d’un texte de lois, la rémunération ne sera jamais 14 Milliards, si c’est cela voler, alors…

05 – Maurice KAMTO est l’avocat de la Guinée Equatoriale, un pays dirigé par un Dictateur Africain, selon la France

La compétence de Maurice Kamto sera sollicitée en Guinée Equatoriale, doit-on défendre à un avocat d’exercer sa profession ?

06 – L’épouse de Maurice KAMTO est haut cadre de la fonction publique Camerounaise appartenant à Paul BIYA

L’épouse de Kamto est la preuve que derrière un grand homme se cache une grande femme, elle sert l’état du Cameroun sur le plan diplomatique. Si elle est promue c’est parce qu’on estime qu’elle a de la compétence, surtout en cette période ou la survie de l’état unitaire du Cameroun est plus que jamais dépendante de sa diplomatie.

07 – Maurice KAMTO est Bamiléké, ces gens qui n’ont pas le droit d’être Président de la République au Cameroun.