Croyant dure comme fer que Jean Pierre Amougou Belinga ira à la maison et ils pourront tous le voir et danser au groupe l'Anecdote, Dieudonné Essomba s'est permis d'insulter les gens sur les réseaux sociaux. Il doit regrette sa publication, après avoir lu les nombreux commentaire humiliants dont il a fait l'objet. Une véritable humiliation.
"Croyant qu'on a libéré Amougou Belinga, Dieudonné Essomba a cru devoir insulter ceux qui ne partagent pas son avis sur la question de l’arrestation du Zomloa.
Lisons son post :
« La vérité, rien que la vérité !
Le Cameroun ne saurait se bâtir ni sur la haine, ni sur l'imposture !
Et seule, la vérité triomphera.
Sa Majesté Amougou Belinga libéré, au mépris des désirs de la racaille ! C'était évident pour tous les Camerounais honnêtes ! Ce sont ceux qui adressent leurs misérables suppliques a la lune qui n'y croyaient pas. Mais c'est fait! (...) »
Mon commentaire :
Amougou Belinga n'a pas été libéré et n'est peut-être même pas sur le point de l’être. Dieudonné Essomba s'est lamentablement planté et cependant, il faut le lui pardonner. Car avec son bac +4, il a encore beaucoup de chose à apprendre de la vie et beaucoup de chemin à parcourir pour avoir ce qui caractérise les gens sages : le respect, la tempérance ou le sens de la retenue.
Par ailleurs le pauvre Dieudonné écrit : « Le Cameroun ne saurait se bâtir ni sur la haine, ni sur l'imposture ! ».
Un personnage haineux et foncièrement tribaliste qui dit que le Cameroun ne saurait se bâtir sur la haine. Voilà le comble de l'imposture.
Et d'ailleurs, comment ne pas en rire ! Car ici, c'est l'hôpital qui se moque de la charité. Voilà donc le capitaine de l'équipe nationale de la haine tribale qui dénonce ses propres pratiques, à savoir la haine quotidienne et l’imposture.
De quoi penser que le « professeur » Dieudonné Essomba souffre d'un trouble de comportement qu'il ignore et qui nécessite une prise en charge psychiatrique d'urgence. Vivement que sa famille et les bonnes âmes lui viennent en aide".