Quelle claque pour toutes ces femmes qui ont combattues pour que cet homme soit libre
C'est la conclusion à laquelle est arrivée l'activiste camerounais Zona Coker après le retour en Côte d'Ivoire de l'ancien président Laurent Gbagbo. Il juge regrettable le fait que ce dernier ait pratiquement refoulé l'ancienne première dame Simone Gbagbo à sa descente d'avion.
dans son analyse, l(activiste fait le parallèle entre la libération de Gbagbo et celle de Mandéla.
Quelle claque pour toutes ces femmes qui ont combattues pour que cet homme soit libre. J'avais exprimé mon indignation dans un commentaire en février 2019 quand il se disait que Laurent Gbagbo à peine libre avait demandé le divorce à sa femme Simone à distance. Nelson Mandela lui au moins a tenu la main de sa femme Winnie à sa sortie de prison et fait semblant pendant un temps. Gbagbo plein de mépris pour celle qui était prête à mourir avec lui lors de leur arrestation et qui a été humilié aux yeux du monde entier pire que lui son mari qui était au pouvoir. Il la repousse d'un revers de la main comme une malpropre devant leurs enfants. L'Afrique ne lui demandait pas les yeux de la tête quand-même. Juste nous offrir un moment historique en serrant la main à Simone aurait suffi. Quel rabat joie ! Celle qui l'accompagnait est aussi mauvaise que lui. Quel genre de femme laisse un homme de cette envergure humilier la mère de ses enfants de la sorte en public ? Voilà pourquoi j'ai toujours été contre cette absurdité de camp Gbagbo et camp Ouattara. Un virus mortel que la côte d'ivoire a contaminé aux autres pays france-africains comme le Gabon et avec les bongo et les Ping et le Cameroun et ses biyayistes et Kamto dit va je va.
Les Ivoiriens auraient dû prendre leur destin en main en faisant du ni Gbagbo, ni Ouattara, ni la France. Je ne suis pas adepte de ce mabiulisme à deux camps, pure distraction et manipulation. Gbagbo et Ouattara avaient tous les deux les mains entachées du sang des ivoiriens. Il fallait les mettre de côté et avancer. Je suis d'ailleurs contre le fait que Gbagbo se représente encore à une élection présidentielle. Qu'il laisse la place au plus jeune Ble Goude ou un autre. Il faut que l'africain apprenne à passer la main. On croit qu'ils s'assagissent avec le temps, mais non. Ils sont plus fidèles à la secte occidentale qu'aux femmes qui les ont aidé à se hisser au sommet, qui ont combattues pour eux et parfois pris des coups à leur place. Ils sont prêts à pardonner le colon leur bourreau de toujours, mais pas leurs femmes et véritables piliers. Quelle honte ! Certains iront même encore se faire tuer dans les rues pour lui après avoir vu ça. Gbagbo a déjà pactisé avec le diable. Qui connaît vraiment les closes du contrat de sa libération ? La condamnation de son ennemi Paul bizmut le même jour qu'il atterrit en côte d'ivoire n'est peut-être pas anodin. C'est du donnant-donnant et tous les partis sont contents. J'entends certains africains parler de karma, c'est mal connaître leur ennemi qui demeure le maître de la situation qui tire les ficelles dans les coulisses. Ne dit-on pas que l'émotion est nègre ? Abim Té !
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