La médiation canadienne dans la résolution de la crise anglophone a été niée par le régime de Yaoundé. Aux dernières nouvelles, l'information donnée par Etoudi serait fausse et que du pur mensonge. C'est ce que révèle Boris Bertolt dans une publication dont voici l'integralité.
Le Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh torpille les négociations avec les anglophones pour un accord de paix, titre le journaliste politologue.
Contrairement au mensonge de René Emmanuel Sadi, ministre de la Communication, le gouvernement du Cameroun a bel et bien accepté du médiation canadienne pour trouver un accord de paix avec les sécessionnistes anglophones. Ces négociations étaient conduites par le premier ministre, Dion Ngute et le Directeur général de la sécurité Extérieure, Maxime Eko Eko.
Voici le ministre des Relations Extérieures, Le Jeune MBELLA MBELLA Et La représente du Canada en train de valider la mediation.
Le problème c’est que l’homme à la punk a été tenu loin de ces négociations. Car pour Dion Ngute, tout comme pour Maxime Eko Eko, l’homme à la punk est un obstacle au processus de paix et ils ont manœuvre pour le tenir à distance après avoir informé le chef de l’Etat.
Mis au courant après le communiqué du Canada, l’homme à la punk a instruit René Emmanuel Sadi d’y apporter un démenti.
Problème : c’est la deuxième fois que l’homme à la punk torpille les débuts de négociations pour la paix en zone anglophone.
Certains leaders sécessionnistes accusent aujourd’hui, le secrétaire général de la présidence de la république d’avoir alimenté la crise anglophone pour provoquer un renversement de Paul Biya.