Ils ont réussi à tromper tout le monde, même l'Etat, le Barreau et ses familles, en faisant croire qu'il est décédé le 16 janvier 2020.
Pourtant un rapport devenu viral sur les réseaux sociaux rédigé en janvier 2022, destiné au MINSANTE et signé de trois (3) médecins et un (1)juriste affirme qu'il est décédé le 13 janvier 2020 en pointant la responsabilité médicale et celle de l'institution hospitalière publique, le CURY.
L'on approche dans ce rapport les actes intentionnels contraires à l'art médical qui auraient été proches des pratiques des médecins nazistes dans les camps de concentration, qui se sont révélés au cours du procès de Nuremberg, et qui ont fait naître le Code de Nuremberg aujourd'hui érigé en référentiel international parmi d'autres sources déontologiques.
Je salue Dr NGONGANG et les deux infirmières visés dans le rapport fuité en décembre 2022 à la faveur des élections en cours au sein de l'Ordre National des Médecins du Cameroun pour leurs "bonnes pratiques" sur des humains!
Je salue les commanditaires de leurs actes!
Je salue tous ceux qui cautionnent ces actes criminels!
L'on veut faire plaire à tous!
Aux victimes directes et indirectes, à notre société, que ce médicament, la mort administrée, fréquente dans les hôpitaux qui ne soigne aucune maladie est bonne, en faisant avaler le fait que des agissements pareils constituent de bonnes pratiques médicales, acceptables et acceptées, et que, les actes d'administration de la mort au CURY et d'administration des souffrances aiguës comme enchaîner les prisonniers sur leur lit d'hôpital à Jamot et à Laquintinie sont devenues admissibles et tolérables dans notre environnement social au point où même le Ministère Public se tait après le Ministre de la Santé et les Ordres de Médecins et d'avocats.
Vont-ils réussir toujours se cacher pour ne pas avoir à rendre compte de leurs actes? Ou à en répondre ?
Le Rapport ouvre des pistes.
Mon confrère Me Souop, membre du Conseil de l'Ordre, Coordonnateur du Collectif qui porte aujourd'hui son nom ne s'appartenait plus et n'était plus seulement une propriété de sa famille pour que le silence qui entoure les circonstances de sa disparition soit aujourd'hui la solution institutionnelle.
L'on peut dans une certaine mesure comprendre les victimes directes qui ont tout perdu et ont perdu tout espoir de connaître la vérité, mais il va s'en dire qu'un crime resté impuni engendre d'autres actes criminels au détriment de la paix sociale.
Tout le monde de va pas se taire, parceque même l'euthanasie reste une pratique interdite ! La société ne sera pas euthanasiée!
Me Hippolyte B T MELI.