L'ancien commissaire de police, aujourd'hui en exil en Europe, revient en long et en large sur la visite du fils du président Paul Biya au nouveau sultan Bamoun. Selon Junior Zogo, cette visite, hautement stratégique, va dans la ligne droite de la succession à Paul Biya par son fils Franck.
La rédaction de CamerounWeb vous propose, ci-dessous, l'intégralité de l'analyse
Ces 4 images démontrent quelque chose que seul, les esprits éveillés et élevés peuvent déchiffrer.
Les fils de la forêt vont toujours chercher l'onction et le saint graal auprès des fils des grassfields. Les rôles sont bien répartis.
Mes ancêtres me l'ont dit cette nuit et je le partage avec vous.
Celui qui ne déchiffrera pas ce message, sera surpris pour la suite.
Moi j'ai tout compris.
J'ajuste et adapte ma stratégie par rapport au contexte et aux enjeux. Je suis pragmatique et réaliste.
Le petit peuple s'étripe.
Eux au sommet forment des alliances.
Je vous avais dit que la Bas faisait diversion pour endormir les autres. Pourtant ils sont au cœur des tractations pour demain.
Je souhaite que chacun s'exprime sur cette problématique que j'évoque de manière subtile pour les esprits fins.
Vous qui disiez :
Franck Emmanuel Biya n'a pas envoyé les Franckistes parler.
Franck Emmanuel Biya n'est pas intéressé.
Franck Emmanuel Biya est étonné qu'on utilise son nom.
On ne parle pas de la succession chez les Bantous tant que le père est vivant.
Franck Emmanuel Biya va rendre visite, au jeune Roi des Bamoun, qui n'est pas son ami d'enfance. Pas plus qu'il n'a le même âge que lui. C'était un Rdv politique pour l'avenir du Cameroun.
Celui qui a consolidé le pouvoir du président Paul Biya face aux Nordistes furieux, c'était bien sa Majesté Mbombo Njoya, père de Nabil Njoya. Henri Bandolo fait un récit émouvant de cette alliance dans son ouvrage " la flamme et la fumée ".
Au même moment où Franck Emmanuel Biya est au palais royal de Foumban. Le père du Franckisme M Mohamed Rahim Noumeu que j'ai eu hier au téléphone depuis Foumban, s'y trouvait aussi. Il est actuellement en séjour au Cameroun.
Cette fois-ci, j'ai fait le bon choix.
Je me suis fait avoir en 2018 par les Talibans.
