Ce n’est un secret pour personne que le PAD va mal et même très mal. De l’avis même du personnel, les chiffres brandis par le managment de la boîte sont faux. C’est au point que même les salaires y sont payés par découvert bancaire.
Découverts bancaires octroyés par les mêmes institutions qui ont prêté des milliards au PAD pour le financement du fameux marché de l’affaire PORTSEC où des milliards se sont retrouvés dans des paradis fiscaux, pendant que les radars ainsi payés pour la sécurité portuaire prétendue n’ont jamais été livrés.
Les banques auxquelles l’actif résiduel de l’ex-ONPC le PAD avait été promis par le PAD ne voient pas les titres fonciers leur parvenir. Les titres fonciers toujours aux mains du Cabinet ATOU.
Entre le marteau et l’enclume, Cyrus NGO’O va tenter d’obtenir la levée des prenotation judiciaires inscrites par le Cabinet ATOU, sans succès, les juges du tribunal de Première Instance de Douala Bonanjo vont par ordonnances de référé 683/HH du 29 novembre 2022 et 55/HH du 02 février 2023 rejeter les demandes du PAD comme non fondée, surtout que le PAD était allé nuitamment soudoyer le conservateur foncier WOURI A qui avait alors procéder aux mutations des titre fonciers au mépris des ordonnances de prenotation pourtant inscrites.
Dans sa détresse, Cyrus ira proposer lesdits immeubles au commandant de la Marine Nationale qui, recevra les clés des lieux après avoir assisté les agents du PAD qui s’étaient emparé d’un premier logement par effraction, sur ordre écrit de Monsieur NGO’O Cyrus.
Non content de ce forfait que lui pardonnera le Cabinet ATOU, Cyrus est allé chercher la goûte d’eau en signant un document par lequel il désigne l’immeuble 13318/w qui abrite les bureaux du Cabinet Conseil ATOU comme attribué à la Marine Nationale qui avait sollicité un bâtiment par lettre en date du 1 juillet 2023 signée du Contre Amiral Mendoa.
Or, le Pad venait de recevoir un commandement à lui servi par le Cabinet ATOU pour se conformer aux décisions judiciaires et administratives rendues, surtout que le PaD était même déjà mis hors jeu dans cette bataille au profit de la SRC par une correspondance du SGPR.
C’est pourquoi le Cabinet a servi une citation directe à Cyrus NGO’O pour comparaître le 05 octobre 2023 devant le même tribunal qui l’avait déjà condamné pour des faits similaires dans l’affaire CANA Bois.