Un fils né du péché, fils de la honte, un fils de prélat. Homme odieux, aussi loin de Dieu que son géniteur. Nourri aux graines de la haine tribale, élevé au moulin des trahisons, forgé aux idéaux de la région de la meute ; 1 Appropriation, 2 Accaparation, 3 Exclusion
« Jésus pleura » et il pleure toujours quand il voit le père Ludovic Lado dans les allées de Satan. L’homme de Dieu est devenu un homme odieux, avec une langue pleine du venin du tribalisme et de la stigmatisation. Celui qui devait rassembler au nom de Dieu, divise maintenant au nom de Satan.
A-t-il perdu la foi? Non! Il a toujours la foi. Cette foi des loups qui se cachent dans la bergerie. Oui, il garde sa foi, parce que le dieu qu’il sert est devenu plus fort que le Dieu d’Abraham, d’Isaac !
Qui ira encore à la confesse chez un suppôt du Diable ? C’est la question que me posait un fidèle catholique après avoir lu le dernier évangile de la haine anti-béti du père Ludovic Lado.
Les bamilékés pourraient y aller, puisqu’il les « défend » sur tous les autels. Mais pas un bamiléké qui récite son chapelet chaque matin, ne peut consacrer une minute de sa journée pour écouter le père Ludovic. Quel jeune bamiléké, croyant et fidèle aux commandements légués à Moïse pour tout le peuple de Dieu, peut supporter les élucubrations démoniaques de ce prêtre qui n’a même pas la force spirituelle de jeter sa soutane.
Et pourquoi ne balance-t-il pas sa soutane et son col dans une de ces poubelles qui parsèment Yaoundé et Douala ? Cela apaisera les esprits. On n’en discutera plus, puisqu’il sera comme un de ces multiples « possédés » du démon qui déambulent dans les rues, la bave aux lèvres et les yeux rouges !
Le discours du père Ludovic Lado est une trahison. Une trahison contre les préceptes bibliques d’amour, de communion et de fraternité. Le Seigneur se retrouve ainsi désarmé, en écoutant ce qui sort de la bouche de son serviteur ; on attend mieux d’un prélat. Des incompréhensions ont divisé des compatriotes à Sangmélima, à Kiossi ; on espérait un discours d’apaisement ; surtout que nous, hommes politiques, avons déjà trompé le peuple jusqu’à son dernier neurone. Nous confessons notre méchanceté, comme l’on d’ailleurs confessé les élites du Dja et Lobo et de la vallée du Ntem. Mais tous, nous implorons la providence divine.
Que faut-il attendre du ciel, si un prêtre convoque le tribalisme, avec des mots qu’on ne trouverait pas dans la Bible ? Je n’ai pas le pouvoir de l’excommunier, mais je dis que ce père Ludovic Lado est une personnalité luciférienne, qu’il faut fuir à toutes jambes. Même de l’eau bénite ne l’en délivrera plus. Encore moins le jeûne et la prière.
Suppôt du Diable en soutane
Avant d’aller en enfer, je veux que le père Ludovic Lado me dise, s’il se rappelle toujours, de qui sont créés les bétis et les bamilékés. Si c’est un seul Dieu, alors là, c’est que le jésuite boit abondamment du « Perlado » ou de « l’odontol » au petit matin. Puisqu’il ne s’en rappelle plus. S’il me dit que seuls les Bamilékés, qu’il prétend « défendre » dans sa croisade apocalyptique contre les bétis, ont été créés par Dieu le père Tout-puissant ; je m’inclinerai devant la toute-puissance du Diable dans l’Eglise qui est au Cameroun. Car le Diable aura alors réussir l’exploit de convertir toute une tribu grâce à l’évangile d’un seul de ses brillants suppôts. En la personne de Ludovic Lado.
Eglise catholique, que faisons-nous ? N’y a-t-il pas un prêtre exorciste pour délivrer et sauver cet universitaire ? Pourquoi le clergé catholique a laissé le démon du tribalisme posséder entièrement le père Lado ? alors qu’il donnait déjà des signes graves de son ethno-fascisme à l’Université catholique d’Afrique centrale ? On ne cherchera plus les visages et les identités de ceux qui arment de machettes des camerounais contre des camerounais. On ne demandera plus quel chemin aura pris le Diable pour entrer au Cameroun pour piller, voler et détruire. C’est un de ses lieutenants fidèles, caché sous une soutane de serviteur de Dieu, qui tenait la porte. Prions ensemble !
Le diable reconnaîtra les siens et les récompensera. Il se souviendra d’un prêtre qu’il aura détourner pour en faire son serviteur dévoué. Il se souviendra de Ludovic Lado, son digne serviteur qui aura créé et semé les graines de la haine entre les bamilékés et les bétis du Cameroun. Il se souviendra d’un jésuite défroqué, en cavale dans la nature, sabre et sagaie à la main pour empêcher toute unité nationale au Cameroun. Le diable se souviendra d’une recrue de taille, Ludovic Lado, ancien serviteur de Jésus-Christ avec le col de jésuite, devenu un personnage très important dans la cour de Lucifer.
Moi Saint Eloi Bidoung, je me souviendrai s’agissant du père Lado et de sa meute d’affidés (Jean Bruno, Rodrigue, David, Pépin de Galim, Jean, François, Anselme),… tapis dans les faux profils à Facebook et faisant l’apologie d’un tribalisme à outrance, notoire et dangereux. Je me souviendrai avec effroi d’un tribaliste, d’un fils de prélat issu d’un péché capital, d’un dévergondé, d’un homophobe, d’un sataniste, d’un suprématiste-hégémoniste, d’un ethno-fasciste, d’un ethnocentrique….
Sa Sainteté, au nom de tout ce qui précède,Que le père Ludovic Lado, diable au visage d’ange, soit excommunié et Que le diable l’emporte!