Quand James Mouangue Kobila tire sur Maurice Kamto

Les partisans de Cabral Libii ou d'un autre bord exultent : Hourra ! On a cassé la tontine ! Les loups de la meute ont les dents cassées. On va nettoyer la porcherie. On va voir ce qu'on va voir. Surtout que comme les matches du stade d'Elig Mbamba, ils ont un renfort qui a des godasses de premier choix, le coeur du ballot : le semillant, j'allais dire le " seigneur " Matthias Eric Owona Nguini. Le célèbre MEON, nouveau Jack l'eventreur de tonton Maurika, qu'il traque jusqu'au bout de la nuit parfois à en perdre le sommeil.

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Le lendemain, quand le même James Mouangue réduit la popularité du " Macron " des inscriptions sur les listes électorales en poudre, estimant qu'il a encore des dents de lait en politique, on le dépouille de toute légitimité ou compétence scientifique ou académique. Il est réduit au statut de jaloux officiel de l'ascension du sosie en noir du fondateur d'En Marche. On le couvre donc d'une trombe d'insultes, le lavant comme on dit au quartier avec l'eau du poisson pourri.

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Quand il se fend d'une douce diatribe sur Akere Muna, estimant que son navire de Magellan ne peut franchir la Benoué, les torpilles sortent des casernes et les epées des fourreaux. On taille en piece ses titres et parcours : un to lambo, traduisez un zéro !!!

Parfois, notre débat politique ressemble à cette expression truculente de nos proverbes qui dit que les avis des Hommes sont comme l'anus de la poule : C'est le même chemin que prennent et les selles et les oeufs.