Il vient d'inscrire son nom sur la liste des Propriétaires des banques à domicile
Le Directeur général de l'hôpital central de Yaoundé est au cœur d'un grand scandale depuis quelques jours. Selon des révélations de l'activiste Patrice Nouma, une importante somme d'argent a été volée au domicile du village de Joseph Fouda. Ce dernier a déversé sa colère sur le Chef de groupement Fouda Nneme, ce qui a provoqué le mécontentement des villageois qui lui ont donné un ultimatum de 48 heures pour sa libération.
Ci-dessous l'intégralité des révélations
Joseph Fouda, Directeur de l'hôpital central de Yaoundé est en ce moment au cœur d'un gros scandale qui va certainement exploser dans les jours qui viennent.
Ce dernier s'est fait braquer 900 millions de Francs CFA dans son domicile du village.
En réalité, d'autres sources affirment qu'il serait allé garder un montant d'un milliard et demi dans son domicile du village, montant qui représente toutes les ventes d'organes humains qu'il entretient auprès de certains pontes du régime depuis longtemps.
Joseph Fouda a entrepris dans sa colère de démettre le Chef de groupement Fouda Nneme qui est son neveu en prison. Il est gardé à la DRPJ du Centre depuis quelques jours.
Une descente a d'ailleurs eu lieu dans le domicile du village du chef de Groupement pour une perquisition et rien n’a été retrouvé.
Le professeur Fouda qui a été interrogé sur les fondements de son accusation sur son neveu affirme que c'est un marabout qui lui a fait cette révélation dans sa voyance.
Les jeunes du village sont en ce moment entrain de s'organiser et ont donné 48h à Fouda Joseph pour libérer leur chef de groupement auquel cas ils lui promettent l'enfer.
D'autres révélations plus graves à suivre dans les prochains jours sur les pratiques de détournement et autres scandales du Professeur Joseph Fouda de l'hôpital central de Yaoundé.
A la suite Mama Fouda, Tsimi Évouna, Narcisse Mouelle Kombi, Pierre Joesph Fouda vient d'inscrire son nom sur la liste des Propriétaires des banques à domicile.
Entre temps certains journalistes « gombistes » regardent ailleurs. Qu'à cela ne tienne, le combat continue. Et fait quoi, fait quoi nous vaincrons.
