Même les gouvernants et leurs fidèles, qui sont des maîtres et adeptes de cercles esoteriques et ont en fait des outils macabres, se complaisent, pour des raisons electoralistes à disqualifier un candidat sous pretexte d'adhesion à la franc-maconnerie. Si ces gens commencaient par leur mea-culpa ou un exercice de vérité, ils rendraient un bien grand service à notre pays et au continent.
Au sein de l'opposition, ceux qui partagent à la vitesse supersonique des dechets dans le watarout, les caniveaux de nos villes, une pretendue lettre d'adoubement d'un candidat, sont les militants des partis concurrents. Ces vers dans le fruit qui empechent toute dynamique et mutualisation.
LIRE AUSSI: Justice: nouvelle menace sur la candidature de Me Akere Muna
On parle d'aliénation, dont la signification est perte de ses racines, uniquement quand il faut pointer l'Occident. Même les talibans de l'Islam et les Inquisiteurs des Eglises de reveil du Christianisme, oublient qu'autant que la culture occidentale, ces deux religions, à laquelle beaucoup d'entre-nous appartiennent et que nous respectons, ont tout aussi contribué à la perte de nos racines.
LIRE AUSSI: Ambazonie: les dragons Rouges menacent d'égorger les leaders sécessionnistes
Je reviendrai en profondeur sur ces questions, car pour l'instant, je suis preoccupé par les conclusions du procès de la catastrophe du train 152 de Camrail qui se déroule en ce moment à Eseka.
Que les Camerounais et les Africains libres, à la pensée autonome, ne cedent pas à la tentation de suivre celle du plus grand nombre. Pour la Renaissance Africaine, nous devons rester lucides, resister aux confusions , à la mechancete gratuite, à la culture de la haine et privilegier la profondeur dans l'analyse et ce qui nous rassemble.