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URGENT : des inspecteurs d’Etat proches de Ferdinand Ngoh Ngoh recherchés par la justice camerounaise

L’information a été révélée par Boris Bertolt ce vendredi

Fri, 1 Apr 2022 Source: Boris Bertolt

L’information a été révélée par Boris Bertolt ce vendredi 1er avril 2022. Le journaliste indique que la justice camerounaise est aux trousses de 3 inspecteurs d’Etat déployés par le Secrétaire général de la présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh.

L’information fait grand bruit depuis ce jeudi 31 mars. L’identité des trois hommes a également été révélée.

C’est une affaire rocambolesque. Digne du proverbe l’arroseur arrosé. Les inspecteurs d’Etat envoyés au Cabinet Conseil ATOU sont en train de faire une expérience amère de cette maxime bien connu au CONSUPE : « Nul n’est au-dessus de la loi ».

Le Cabinet Conseil Atou a engagé des poursuites contre les sieurs WAMBANG, ABOUBAKARY et El HADJ HASSAN tous trois inspecteurs d’Etat déployés par Ferdinand Ngoh Ngoh allias l’homme à la Punk contre cabinet ATOU en représailles de sa plainte dans l’affaire PORTSEC qui concerne l’homme à la punk et son acolyte du port autonome de Douala, Cyrus Ngoh qui a déjà été auditionné au tribunal criminel spécial à plusieurs reprises.

Le Procureur de la République a donc dépêché hier 31 mars 2022, des officiers de police chargés d’identifier les inspecteurs d’Etat, désormais prévenus dans l’affaire Ministère Public et Cabinet Atou c/sieurs WAMBANG, ABOUBAKARY et HASSAN pour abus de fonction.

Face à la réquisition du procureur de la république, les inspecteurs d’Etat ont déserté leurs bureaux pour échapper à la procédure. Ils ont refusé de se conformer à la procédure judiciaire.

Au contraire d’après les premières informations, ils se sont réfugiés au bureau de Madame le MINISTRE CONSUPE Mme MBAH ACHA qui a aussitôt fait appel à l’homme à la punk. Mais cette information n’était pas connue par les officiers de police judiciaire.

L’opération se poursuit quoique les prévenus aient pris la fuite. Ils savent désormais que « nul n’est au-dessus de la loi. ». Les magistrats réfléchissent à l’éventualité d’un mandat d’arrêt s’ils ne se rendent pas.

Auteur: Boris Bertolt