Ce monsieur que vous voyez sur cette photo s’appelle DAHSSI EDGARD PIERRE, PDG de la SOCIETE DAH-KEN distributeur agrée des produits SABC située à PK13 EN FACE SITABAC. Il par ailleurs PDG de DK HOTEL à BONABERI et chef de du village BAMEKOUMBO dans le BAMBOUTOS.
Les employés de la ste DAH-NKEN vivent la misère totale. Avec une vente moyenne de 160.000 colis par mois (casier et PET ) pour un chiffre d’affaire estimé de 200 millions mensuellement. Il occupe la place du 1ER Distributaire dans la région du littoral. Malgré cette richesse et fortune, les 75 employés de la ste DAH-KEN qui sont au centre de toute l’activité vivent l’enfer avant la mort.
• Pas de contrat de travail, les salaires vont 40.000 à 80.000 fcfa peu importe l’ancienneté.
• pas d’heure supplémentaire pourtant ils travaillent de 7h 30min à 19h voir 22 h et jusqu'à l’aube les jours de fêtes
Pas bulletin de paie
• Aucune affiliation à la CNPS : les employés ne connaissent pas les prestations familiales
• Aucune assurance maladie en cas d’accident or les produits sont pourtant assurés
• sur 75 employés, moins de 10 sont affiliés à la CNPS, tous originaire de MBOUDA ses frères du village.
• Pas de profil de carrières, les diplômes ne servent à rien à DAH-KEN, Zéro cadre dans une société qui réalise près de 2 milliard de chiffre d’affaire par an.
• Les employés travaillent sans lendemain, démission, licenciement, et recrutement tous les jours.
• Paiement tardif des maigres salaires soit le 25 du mois prochain, les employés pour survivre volent les casiers des clients, soutire les bouteilles, purge les carburants, taxe les clients pour leur livraison. (sous-traitance)
• Licenciement abusif des employés sans paiement des indemnités, pas de certificat de travail, sous prétexte qu’au Cameroun il est intouchable dit-il lors des réunions.
• l’unité de mesure étant le casier, les employés subissent des sanctions de casiers a tort et à travers. Ces casiers sont déposés immédiatement dans son bureau pour étancher sa soif et ses invites.
• Les manquants sur achats sont imputés aux chauffeurs camions pourtant ces manquants sont compensés par les brasseries.
• Aucun respect envers son personnel, trop d’insulte et mépris -il confond le pouvoir d’un chef traditionnel à la fonction d’un chef d’entreprise
• Soustraction frauduleuse des ristournes des clients tous les trimestres d’où de nombreuse plaintes clients.
• Menace et mise en garde des employés avec son pistolet automatique en plein réunion générale traumatisant ainsi le personnel.
Tout ceci avec la complicité de certains cadres des brasseries et de son chef secteur. il ne respecte aucune conformité lies à la ressource humaine, pourtant il est contraint par la direction des SABC pour pouvoir maintenir son agrément.
Ainsi va la République
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BORIS BERTOLT