Le slogan ''Paul Biya must go'' sera-t-il enfin remplacer par un véritable projet de société?
L'un est président du parti SDF depuis sa création. Le second est le candidat du SDF pour l'élection présidentielle de 2018, vice-président du SDF. Il n'est donc pas le président du SDF.
Chapeau à cette idée de vouloir passer le bâton de commandement a un autre. C'était trop beau au regard de la politique type Camerounaise. L'honorable Osih est de ce fait l'exécutant des instructions de son président, Fru Ndi.
Le fait palpable serait qu'il soit président de la république en 2018. Je lui souhaite bonne chance. Car il devra sans doute récupérer son ancien poste et voici, nous serons revenu à l'étape initial: le patron du SDF n'a pas changé.
Maintenant, qu'elles sont ses chances de conduire le SDF à Etoudi ?
Sera-t-il capable de réconcilier les anciens du SDF frustrés et conscient de cet arnaque démocratique issue de ce congrès de Bamenda ? Espérons qu'il trouvera les mots justes. Sera-t-il capable de chasser les anges de l'échec qui l'ont toujours conduit aux échecs politiques du parti SDF ? Sera-t-il capable de refaire rêver le peuple Mangwa encore sous le choc et les stigmates des cauchemars des années 90 et 92 ?
Plusieurs connaissent le SDF comme étant ''sufer don finish'' a t'il les moyens humains pour l'amélioration du taux de croissance en cours ?
Le sénateur du SDF des Bamboutos et son nouveau candidat ont-ils des arguments pour convaincre les jeunes des Bamboutos qui n'ont pas vécus les misères des années 90 et 92? Quand on sait que d'autre parti politique ont fait des Bamboutos un bastillon imprenable !
Le slogan ''Paul Biya must go'' sera-t-il enfin remplacer par un véritable projet de société vulgarisé ?
En supposant qu'il réussit à prendre Etoudi. Sera-t-il capable de faire face a son patron, le président du parti SDF ?
Son président ne sera pas tenter de s'ingérer dans ses décisions gouvernementales ?
Cette problématique devrait nous faire comprendre que la démocratie que les politiques africaines sembles expliquer est un fait divers.
En vrai, le congrès de Bamenda a accouché d'un ''rat'' donc la taille et l'État ne sera évalué qu'après les élections présidentielles.
Radio Tonepi reprenant la route de retour de Bamenda, souhaite bonne chance au Président du SDF et a son candidat a l'élection présidentielle de 2018.
