Le jeune Président du Burkina Faso, l'un des pays les plus pauvres de la terre, est devenu une vedette planétaire en très peu de temps. Et pourtant, chez lui, il n'y a ni opposition, ni forces intermédiaires, ni élections.
Tout cela pour dire que ce que l'on reproche à Paul Biya, c'est plus d'avoir littéralement détruit tout ce pays et ses fondamentaux plutôt que le manque de "démocratie", surtout soutenue par les élections les plus truquées de l'histoire.
La réussite actuelle du président Traore montre que démocratie ou pas; élections libres ou pas, l'Afrique a besoin de leaders qui "sentent" le peuple; qui se pose nuits et jours des questions autour de la santé, la nutrition, la formation, la sécurité… de leurs compatriotes tout en essayant de leur trouver des solutions.
Or quel visage nous offre le pouvoir actuel ?
Au sommet de l' État, se trouvent des cleptomanes notoires obsédés par les biens matériels et tellement avides de sexe qu'ils risquent bientôt d'imposer strings et mini soutien gorge aux dames comme aux "jeunes premiers", en guise de tenue de travail à la Présidence de la République: comme ça, le temps utilisé pour se déshabiller sera économisé.
Qui peut croire que cela peut durer encore 7 années ?