Présidentielle 2025: les poltrons camerounais doivent laisser tranquille Ngoh Ngoh

Sebastien Ebala Sébastien Ebala

Fri, 15 Aug 2025 Source: Ebala Sébastien

S'il vous a dépassé, portez son sac! Un vrai peuple courageux aurait déjà pris d'assaut la rue pour revendiquer ses droits. Au lieu de casser la tête aux gens en longueur de journée avec des discours à la con tels que Pourquoi Ferdinand Ngoh Ngoh organise les consultations avec des chefs traditionnels et certaines délégations au palais de l'unité au nom de Paul Biya. Est-ce-que c'est pour son compte personnel ou alors c'est pour autre chose?

Les Camerounais doivent arrêter de bavarder dans le néant. Il faut passer à l'essentiel. Un vrai peuple est celui qui sait faire foule. À un moment donné de son histoire, au lieu de passer le temps à s'apitoyer sur son sort, il faut, à un moment donné, prendre ses responsabilités.

Tous ceux qui passent leur temps à bavarder sur Facebook et dans les groupes WhatsApp avec des discours sans fondement toujours en train de s'alarmer. Pourquoi vous ne faites pas comme les Togolais et les Kenyans y compris les Ivoiriens? Un vrai peuple qui est déterminé à arracher sa dignité et à l'assumer jusqu'au bout n'a peur de rien. Ferdinand Ngoh Ngoh ne vous donnera pas le lait. Il assume ses responsabilités, il a compris que l'espace est tellement vide, les autres ont blagué. Auparavant, quand ils étaient au même niveau que lui aujourd'hui, l'homme a compris qu'il peut jouer son va-tout comme en face. Ils ont réussi dans la mafia à mettre de côté le vrai candidat du peuple du changement qui était Maurice Kamto ayant compris qu'il y a plus rien devant qu'eux comme obstacle.

L'homme des hautes instructions a maintenant un boulevard sans difficultés et comme nous sommes dans une société d'hypocrites et des méchants qui n'ont pas de cœur face à de l'argent, bienvenu au gré à gré du pouvoir et le faux peuple oisif et paupérisé dans l'extrême misère qui est incapable de faire foule. V

ous allez seulement continuer de bavarder sur Facebook et Google. Entre-temps, Ferdinand Ngoh Ngoh continue de tiser sa toile. Je terminerai en citant le savant philosophe Fabien Eboussi Boulaga, qui affirmait qu'une société qui se ment elle-même est une société qui se meurt. Bon vent à Ferdinand Ngoh Ngoh! Que le seigneur Dieu tout puissant bénisse le Cameroun!

Auteur: Ebala Sébastien