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Bangangte: La lutte ne fait que commencer pour le FFCI

Mowha Franklin76 Franklin Mowha president of National Frontline Fighters for Citizen’s Interest

Fri, 7 Aug 2015 Source: FFCI

Le Président National Frontline Fighters for Citizen’s Interest (FFCI) M. Mowha Franklin a été entendu par une commission délégué par le Secrétariat d’Etat à la défense (SED).

Son audition a eu lieu à la Compagnie de Gendarmerie de Bangangté par le Colonel Mekoulou Stephane , l’interrogatoire durera de 8H à 11H12 ce jour 05 Aout 2015.

Rappelons que le 15 Juin 2015 M. Mowha encore détenu dans la Prison de Bangangté, a écrit une fois de plus au Secrétaire d’Etat à la défense portant plainte contre Toka Georges, Comandant de la Brigade de Bangangté longtemps limoger de son poste suite à des exactions subi par M. Mowha Franklin le 06 Décembre 2013 dans la cour de la brigarde et sous le drapeau tricolore avec la collaboration de DjandaEnerst et Eloundou encore en fonction à Bangangté.

A la suite de ses atrocités que subissait Mowha Franklin, une bastonnade publique par le commandant susmentionné et ses éléments, il est déféré à la prison centrale de Bafoussam sans raison apparente.

Il va rester prévenu (sans jugement) pendant 19 mois ; ce qui est une violation flagrante de la loi Camerounaise.

Ce matin alors qu’il s’apprêtait à se rendre sur Yaoundé, il est interpelé par une commission partie du secrétariat d’Etat à la défense à Yaoundé pour l’auditionner ainsi que tous les gendarmes cités dans sa plainte adressée au SED le 15 Juin 2015 depuis la prison de Bangangté.

Le « FFCI » s’inquiète de la récurrence des intimidations à l’endroit de son Président National, M. Mowha Franklin et sa famille expulsé de cette localité par les gendarmes susmentionnés.

A la question de savoir s’il avait des pièces à présenter par rapport à tout ce qu’il a subit, un certificat médical, un carnet médical, ainsi que des ordonnances médicales ont été présentées.

A la question de savoir pourquoi M Mowha continu d’exercer à Bangangté alors que sa famille est expulsée par des gendarmes de ladite ville, il répond : « Bangangté n’est pas le pays des gendarmes et cet ultimatum n’a jamais été officiel et reste toujours des intimidations orales » ; en plus tout Camerounais dois se sentir chez soi, partout où il se trouve.

« Ce Defenseur E des droits de l’homme s’attache a sa lutte »

Source: FFCI