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Annie Payep-Nlepe

Journaliste

Annie PAYEP
Date de Naissance:
N/A
Lieu de Naissance:
N/A

Annie Payep-Nlepe est une journaliste camerounaise et promotrice de la chaîne « Télé ASU ». Elle est titulaire d’un diplôme d’étude supérieure en technique de l’information et de la communication obtenu à l’ESSTIC (École supérieure des sciences et techniques de l’information et de la communication) au Cameroun.

Elle débute sa carrière professionnelle dans une maison de production à Douala, puis travaille pour des sites d’informations et des fournisseurs de contenus en ligne avant d’intégrer la direction Afrique centrale de la télévision panafricaine VoxAfrica à Yaoundé en octobre 2009. Elle évolue en interne passant de reporter-productrice à coordinatrice de la production, chef service information, directrice générale adjointe en charge du bureau de Douala et Coordinatrice digitale. Lorsqu’elle constate que des informations erronées circulent et sont amplifiées par les réseaux sociaux créent parfois des dégâts considérables sur la société, elle met sur pied Stopintox pour faire du fact-checking. Stopintox couvre principalement les sujets liés à la politique et à la technologie.

Après 10 ans au sein de VoxAfrica Afrique centrale, Annie Payep-Nlepe, chef du service information, a annoncé mettre fin à ses fonctions. Elle met donc sur pied en janvier 2019 Impact Media, une agence spécialisée en production vidéo, media et communication digitale basée à Douala.

Elle ne cache pas ses convictions surtout quand celles-ci visent l’amélioration des conditions de vie des populations à travers le respect des droits comme la liberté d’expression, la justice sociale, l’égalité de chance, le bien-être collectif ou encore la bonne gouvernance et elle met un accent sur la place des femmes dans l’avancement de la démocratie dans les pays africains. D’ailleurs, elle donne toujours son avis sur des sujets qui font vibrer la toile. Concernant l’affaire Rebecca Enonchong en août 2021, elle ne s’est pas privée d’exprimer son mécontentement « Le genre d'abus que Rebecca passe le temps à décrier ici. C'est les quoi ainsi d'abord? Bref qui est même surpris? Tsuiiiip #FreeRebecca », a-t-elle déclaré sur un de ses tweets.