Boris Bertolt suggère au jeune la piste de la présentation des excuses
La nouvelle est répandue depuis quelques jours. Muriel Blanche a fait arrêter un jeune internaute, administrateur des pages de réseaux sociaux. Revenant sur l'affaire, Boris Bertolt estime que « Muriel Blanche ne doit pas faire libérer le jeune aux arrêts s’il ne présente pas publiquement ses excuses. Y compris à Nathalie Nkoa. »
« J’ai appris en fin de matinée que l’artiste Muriel Blanche avait fait enfermé depuis plusieurs jours un internaute. J’avoue que de prime abord, je me suis indigné. Je suis habitué à gérer ce genre de dossiers et régulièrement en coulisses. Ni vu ni connu. Mais très vite au vu de la tournure des événements et connaissant que la toile peut aggraver des affaires qui peuvent se résoudre gentiment, j’ai décidé de me renseigner », indique-t-il.
« C’est ainsi que je découvre que ce jeune, RAPHAËL ENDEME EKONG est propriétaire de trois pages Facebook parmi lesquelles GOSSIP et TRIBUNAL DU KONGOSSA. En plus dans la plainte de Muriel Blanche il est démontré que depuis plusieurs mois, elle subit le harcèlement de ce monsieur. La goute d’eau qui fait déborder le vase c’est lorsqu’au sortir d’un tournage, Muriel Blanche va rendre visite à sa fille hospitalisée. Elle publie une vidéo et RAPHAËL ENDEME EKONG récupère la vidéo la publie en indiquant que l’enfant de 12 ans a été hospitalisé après avoir eu ses premières règles. Les preuves existent et sont à la gendarmerie », déplore le journaliste politologue et lanceur d'alertes.
« Non mais arrêtez. On ne joue pas avec la famille comme ça! En Afrique, on fait ce qu’on fait mais chacun sait que la famille c’est la famille. C’est sacré pas d’attaques personnelles. C’est ainsi qu’une plainte est déposée. Un mandat de recherche sera délivré par la gendarmerie avant que RAPHAËL ENDEME EKONG ne soit arrêté. Quand il est arrêté au lieu de faire profil bas parce que nous sommes là dans un cas de cyber harcèlement et cybercriminalité, il crie à la gendarmerie, tente d’acheter les gendarmes, insulte la plaignante et autres en compagnie de son avocat », a-t-il ajouté.
« On découvre qu’en réalité RAPHAËL ENDEME EKONG à part Muriel Blanche, Nathalie NKOA avait déjà déposé une plainte contre ce jeune homme pour cyber harcèlement et cybercriminalité. Y compris une troisième personne », se rappelle-t-on.
Sur la base de ces faits, indique Boris Bertolt, « Raphaël Endeme Ekong doit présenter ses excuses publiques et retrouver sa liberté. Si tu interviens pour faire libérer un type comme ça sans qu’il ne fasse amende honorable même tes contacts ne vont plus te prendre au sérieux. Dire que les célébrités ne portent pas plainte, ce n’est pas vrai. Car il y a des limites à tout. Tu ne peux pas traiter de la sorte une enfant de 12 ans sur Facebook. Quel parent va l’accepter ? »
« RAPHAËL ENDEME EKONG présente tes excuses. Les erreurs nous les faisons tous. C’est la chose la plus simple à faire. Raphaël, présente tes excuses à Muriel Blanche et Nathalie NKOA et l’affaire s’arrête là. DEMANDER PARDON POUR DES ERREURS N’EST PAS SIGNE DE FAIBLESSE MAIS UN ACTE DE GRANDEUR. CAR TOUS LES HOMMES SONT DES PÊCHEURS », a conclu Bertolt.
