Les faits et les différentes révélations sont accablants et insoutenables mais néanmoins cela demeure insuffisant pour mettre à l'ombre quelqu'un d'aussi que Jean-Pierre Amougou Belinga.
A en croire plusieurs concordantes dont Klein Reporters, il s'agirait vraisemblablement d'une "leçon d'intimidation" qui aurait mal tourné pour Martinez Zogo et, peut-être le Commando ne s'attendait pas à la torture du journaliste et lanceur d'alerte au point qu'il s'en "aille définitivement".
Quoiqu'il en soit, les enquêtes et auditions suivent toujours leurs cours. Le seul dénominateur Commun c'est que toutes les personnes arrêtées se connaissent , reconnaissent leur sentiment "négatif" envers Martinez Zogo de son vivant car il les "mettaient à la place publique" ...mais l'homme d'affaire ne reconnaît pas jusqu'ici avoir donné l'ordre de tuer Martinez rapporte Klein Reporters.
« A l'observation , la notion des termes utilisés pour nuire à MARTINEZ ZOGO , le refus de l'homme d'affaire d'avoir utilisé les mots " tué Martinez Zogo" sont au centre du retardement de la fin du processus judiciaire (bouclage de l'enquête) : "donner la leçon, bien faire le travail, finissez le travail..." Mais le mot" tué" n'est explicitement confirmé par aucun des deux camps accusés (Homme d'affaire & Commando) » ajoute le confrère
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