Après l'effroyable découverte du corps sans vie de Martinez Zogo ne laissant le moindre doute sur la thèse de l'assassinat, plusieurs personnalités politiques ont réagi et condamné cet acte barbare.
Pour le gouvernement camerounais représenté par son porte-parole, le ministre de la communication René Emmanuel Sadi, ce crime crapuleux est « inqualifiable, inadmissible, et ne peut se justifier sous aucun prétexte, ce crime aurait peut-être pu être évité. »
En marge des hommages et réactions qui pleuvent de partout, Célestin Tawamba s'y est mis aussi et qualifie cet assassinat d'horreur. Célestin Tawamba, le président du groupement inter-patronal du Cameroun (Gicam) souligne dans communiqué, ce lundi que l’organisation patronale qu’il dirige est attristée par la nouvelle du décès du confrère.
« Dans tous les pays, le premier moteur de l’investissement est la confiance qu’induit une sécurité minimale assurée aux personnes et à leurs biens par les pouvoirs publics » entre autres, Célestin Tawamba parle de monstrueuse tragédie pour évoquer la mort de Martinez Zogo.
Jean de Dieu Momo réagissant à la disparition tragique de l'illustre confrère, s'offusque contre cet assassinat.
« Inacceptable si c’est avéré. Nul n’a besoin de ça. Et c’est nous qu’on va accuser!!!! On ne tue pas les journalistes ni personne parce qu’elle parle! Moi même je serais déjà passé de vie à trépas. Toute la lumière doit être faite » a écrit Jean de Dieu Momo sur sa page Facebook.