Le Chef de l'Etat veut clarifier certains points noirs qu'affichent les éléments d'enquêtes. Ainsi, il demande aux enquêteur de reprendre certains aspects de l'enquête pour sûrement être convaincu entièrement des trouvailles des hommes en charge de l'enquête.
L'information a en premier été publiée par Boris Bertolt qui indiquait que « Paul Biya a prescrit immédiatement une reprise à zéro de toute l’enquête sur l’affaire Martinez Zogo et instruit que tout soit désormais concentré uniquement à la commission mixte ». Mais L'information a ensuite été clarifiée par Kemajou Baudelaire qui donne plus de précisions sur la décision de Paul Biya.
En effet, ce dernier indique que certains règlements élémentaires n'ont pas été respectés et Paul Biya se voyait obliger d'ordonner la reprise de certaines auditions. « L'enquête a toujours été conduite par la commission mixte Police Gendarmerie au SED. Tchoungang a révélé qu'il y avait certains employés de vision 4 qui étaient entendus a la légion. C'est ces agents qui sont entrain de repasser devant cette commission. D'autre part, il ya certaines auditions où enquêteur était moins gradé sur le présumé or dans une procédure militaire l'enquêteur doit etre plus gradé que le militaire enquêté ou avoir le même grade. C 'est pourquoi certaines audition sont reprises pour des questions de procedures devant le tribunal militaire » indique Kemajou Baudelaire.
Il faut noter que la publication de Boris Bertolt, a été vivement critiquée par certains internautes en ce sens où une telle enquête ne peut pas être reprise.
En exemple, un internaute indique que « le président n'a jamais demandé un truc pareille voir croyez même a quoi? Ce que tu dis a été respecté la preuve au tribunal militaire c'est pas le C.G qui a fait le procès car Danwe et Eko Eko son colonel c'est son patron qui est au ministère qui a tenu ce procès car plus gradé que le colonel. Ne croyez pas tous sur les réseaux sociaux. La vérité est bien cachée et il ment je sais de quoi je parle ».
A un autre de renchérir : « Cinéma.. la vérité est que des gros bras du régime sont impliqués et on n’a pas envie de les écrouer ! C’est tout, les aveux sont faits et on tourne trop sur quoi encore »