Les prochains jours risquent d’être très désagréables pour le zomloa des zomloa Jean-Pierre Amougou Belinga toujours aux mains des enquêteurs pour soupçons de meurtre sur la personne du journaliste Martinez Zogo.
On le sait tous, l’homme d’affaires Jean-Pierre Amougou Belinga a été capturé au même moment que ses collaborateurs Bruno Bidjang et Raymond Etoundi Nsoe.
Ce dernier, ancien commandant de la garde présidentielle, est devenu le chef de sécurité du milliardaire et également son beau-père. Melissa est sa fille.
L’homme arrêté pour être auditionné aurait passé à table et balancé Jean-Pierre Amougou Belinga considéré comme l’un des commanditaires de l’assassinat, avec le ministre de la Justice Laurent Esso.
Dans un texte digne de foi qui est parvenu à notre rédaction, on peut lire que « d'après le journaliste Guy Zogo, « le colonel Etoundi Nsoe a corroboré point par point les affirmations du colonel Justin Danwe incriminant Jean-Pierre Amougou Belinga ».
Le journaliste d'Equinoxe TV renseigne que le colonel Etoundi Nsoe aurait préalablement obtenu des garanties sécuritaires pour sa famille avant de passer à table.
Nzui Manto le lanceur d’alertes confirme également : « Le colonel Etoundi Nsoe passe aux aveux et confirme les rôles de Laurent Esso et Jean-Pierre Amougou Belinga dans l'assassinat de Martinez Zogo ».
Dans les détails, celui qui se fait appeler la panthère écrit : « Au 20h de la chaîne bleue, l'envoyé spécial Guz Zogo ayant établi domicile à l'entrée du Secrétariat d'Etat à la défense (SED) rapportait fidèlement l'ambiance qui y prévalait.
Il juge bon de souligner que d'après Zogo, « le colonel Nsoe Etoundi, beau-père du zomloa Amougou Belinga et chef de sécurité de ce dernier est passé aux aveux corroborant les propos de Justin Danwe, chef des opérations de la DGRE qui décrivait les circonstances et les rôles joués par le ministre de la justice Laurent Esso et son homme Jean-Pierre Amougou Belinga ».
De mémoire, selon les confidences de Reporters sans frontières (RSF), l'agent de la DGRE a affirmé que le zomloa avait bel et bien pris part à l'assassinat de Martinez Zogo et que le mot final d'achever le journaliste avait été donné au téléphone par Laurent Esso.