Ciel noir à Etoudi : un colonel redoutable décide de passer à l'action

Heure de révolte

Fri, 17 Oct 2025 Source: www.camerounweb.com

Est-ce une révolte qui finira par arranger les choses au sein de la classe politique camerounaise ? La question se pose avec acuité, tant les réclamations sans force n’ont rien donné par le passé. En l’état actuel des choses, les Camerounais, une grande partie d’eux en tout cas, estiment que Tchiroma Bakary a gagné l’élection. Une chose que n’accepte pas le régime en place qui avance que cette conclusion est trop hâtive alors que les bureaux de vote consolident la première piste évoquée à travers les décomptes le soir du 12 octobre, date de l’élection.

Le RDPC, parti de Paul Biya, ne connait-il que le langage de la force et de la violence ? Un homme de l’armée est peut-être à bousculer les choses, une chose que relève le lanceur d’alerte Paul Chouta dans une de ses publications.

Quand un officier de l’armée se lève pour le peuple, le changement est inévitable. Le Colonel Badjeck vient de briser le silence et de dénoncer haut et fort les dérives du régime RDPC. Ce n’est pas un simple homme, c’est la voix courageuse d’une armée qui refuse de rester complice.

Quand un militaire, habitué à défendre la patrie, choisit de se dresser contre l’injustice et la corruption, c’est le signe que le vent tourne. Le peuple entend enfin son cri de vérité, un appel à la justice et à la liberté.

Ce geste symbolise l’espoir, la promesse d’un Cameroun nouveau où le pouvoir ne sera plus un jouet entre les mains d’une élite déconnectée, mais une force au service du peuple.

Le Colonel Badjeck, en se dressant du côté du peuple, devient le garant du changement, l’étendard d’une révolution pacifique, mais déterminée. Le régime RDPC tremble, car le temps de l’impunité est révolu.

Peuple du Cameroun, écoute ce cri, joins-toi à cette voix. Ensemble, avec des hommes comme le Colonel Badjeck, nous écrirons une nouvelle page de notre histoire. Le changement est là. Soyons prêts à le défendre, car il est notre seul espoir.

Source: www.camerounweb.com