Deux grandes puissances soutiennent la nouvelle candidature de Paul Biya

Qui se cache derrière la candidature de Paul Biya ? L’homme de 92 ans, qui postule pour un nouveau mandat de 7 ans à la tête du pays, a-t-il les faveurs de la communauté internationale. Jacques Jorel Zang fait des révélations complètes.

Sachez bien que les patrons du clan Biya sont les USA et la France. Cela veut dire que le clan Biya ne fait absolument rien sans l'aval de ces deux pays. Ils sont donc parfaitement au courant de la situation au sommet de l'État et tout particulièrement de l'état physique de Paul Biya.

Par ailleurs, n'oubliez jamais que Chantal Pulchérie Vigouroux, épouse Biya, est avant tout Française via son papa, Georges Vigouroux. Et qui dit M. Vigouroux dit Bolloré, NGE, Satom, Tollcam, etc. En clair, c'est via Georges Vigouroux que le groupe Bolloré et d'autres groupes français ont encore la main mise sur certains domaines au Cameroun. Donc la France vous gouverne déjà via leur compatriote au palais pour leurs intérêts à eux.

Ainsi, vous qui aimez tant pleurer auprès de la communauté internationale en l'appelant au secours, sachez que vous n'apprenez absolument rien à cette communauté. Et vous qui pensez que le Cameroun appartient aux Camerounais, sachez que c'est dans vos têtes car dans les faits, c'est la France qui décide de tout. Les USA sont plus dans la gestion de notre pétrole.

En parlant justement du pétrole camerounais, il est vendu "brut" à l'Occident par le même clan Biya qui connaît seul la direction de cet argent. Ce qui m'amène donc à parler de Maurice Kamto. Ils n'accepteront jamais et au grand jamais qu'une personne comme Maurice Kamto soit président de la République du Cameroun.

Ils sont prêts même à créer une guerre au Cameroun plutôt que cet homme arrive au pouvoir. Tout simplement parce que le Pr Maurice Kamto est considéré comme "insoumis" et "indépendant" à leurs yeux.

En réalité, Maurice Kamto paye juste sa façon de penser qu'il peut faire la politique sans se salir les mains. Voilà pourquoi si la candidature du Manidem est validée auprès du Conseil constitutionnel, sachez bien que le même Conseil constitutionnel ne pourra jamais valider une victoire autre que celle du RDPC.