Eko Eko et Danwe enfermés : une révolte de la DGRE annoncée, peur à Etoudi pour les infos très secrètes

Une révolte à venir du côté de la DGRE

Sun, 5 Mar 2023 Source: www.camerounweb.com

Jean-Pierre Amougou Belinga est à Kondengui en prison pour "complicité de torture par aide". Il a participé au crime odieux commis contre la personne de Martinez Zogo que les éléments de la DGRE, avec à leur tête Justin Danwe, ont kidnappé, torturé et tué.

Le lanceur d'alertes Shance Lion entrevoit une révolte prochaine des agents de la Direction générale de la recherche extérieure (DGRE) dont l'agence a été trainée dans la boue avec l'arrestation de leurs chefs Léopold Maxime Eko Eko et Justin Danwe son bras droit.

« C'est très important de revenir sur cette vidéo où le journaliste de Reporters sans frontières (RSF), fait des révélations sur l'assassinat de Martinez Zogo.

Il dit que les documents en leur possession ont été écrits de la main du colonel Justin Danwe, mais comment ont-ils fait pour savoir qu'il s'agit de la main d'écriture du colonel Danwe ?

Ce journaliste dit que le colonel Danwe, situe Jean-Pierre Amougou Belinga sur le lieu où Martinez Zogo a été passé à tabac, pourtant Jean-Pierre Amougou Belinga n'est inculpé que de "complicité de torture par aide" (une circonstance atténuante, non pas pour "complicité de torture" ou "torture" tout court.

A la 3 min 23 secondes de cette vidéo, le journaliste se tripote "le lobe de l'oreille gauche" (ce qui correspond à la micro-expression de quelqu'un qui ne dit pas la vérité) d'après les théories du docteur en psychologie clinique Paul Ekman.



L'affaire Martinez Zogo était un test pour savoir si une mobilisation de certains médias locaux et étrangers, de certains leaders d'opinions, de certains influenceurs et autres artistes pouvaient aboutir à certains résultats jusqu'au sommet de l'État, comme demander le départ d'un président de la République par exemple.

Maintenant, je ne sais pas, si après avoir versé les ronds à Jorge Doux-gue-lit, compte-tenu des problèmes qu'il a en ce moment, il n'a pas reversé la part de Reporters sans frontières, just wait and see.

Il est également clair qu'on a voulu décapité la DGRE, le directeur général et le directeur des opérations en prison, que deviennent les agents sur le terrain ? Allons-nous vers une révolte au sein de ce service d'intelligence ? Ne soyons pas surpris de découvrir des informations classées dans les réseaux sociaux dans les prochains jours, prochaines semaines.

En toute chose, sachons que le Cameroun est notre père, notre mère, notre mari, notre femme, notre frère, notre sœur, notre papa, notre bien commun à nous tous, on doit lui soulever jusqu'au ciel ».

Source: www.camerounweb.com
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