L'affaire Zogo va exploser Etoudi : un lien curieux trouvé entre Mvondo Ayolo, Motaze et Belinga

L’affaire Martinez Zogo brûle toujours. Et à l’allure où vont les choses, elle continuera par s’enflammer avec des révélations qui ne sont pas encore arrivées à leur fin. L’un des lanceurs d’alertes très actifs depuis le début de l’histoire est Rémy Ngono.

Presque toutes ses alertes ont finalement eu du sens, au vu des évènements récents qui se sont produits. Certaines personnes se sont même permis de se demander comment l’homme en exil Rémy Ngono faisait-il pour avoir toutes ces informations exclusives s’il n’est pas mouillé dans l’affaire.

Dans une publication faite ces dernières heures, Rémy Ngono a encore levé le couvercle sur des faits absolument graves que la plupart des citoyens ne savaient pas jusqu’ici.

Il dit que le ministre des Finances « Louis-Paul Motaze détourne des milliards des lignes 94, 65, 57 pour offrir au chef de gang Jean-Pierre Amougou Belinga pour payer des assassins de la Direction générale de la recherche extérieure (DGRE) ».

Par conséquent, « ils achètent des voitures Prado pour la filature, l'enlèvement de Martinez Zogo. L'autre bandit du Sud, Samuel Mvondo Ayolo a volé le terrain Dingue pour offrir au même broussard bagnard Jean-Pierre Amougou Belinga pour construire tout un immeuble dédié à l'assassinat de Martinez Zogo ».

Mais, précise Rémy Ngono, « ces deux (02) élites mafieuses du Sud sont incapables d'acheter une seringue pour les hôpitaux de leurs villages. Les routes étant impraticables, les dépouilles sont transportées comme des fagots de bois sur des motos ».

C’est donc bien de dire que selon le consultant de la Radio France internationale (RFI) que « Louis-Paul Motaze et Samuel Mvondo Ayolo sont les ennemis des Bulu. Leur seul vrai ami est le chef de gang Ekang Jean-Pierre Amougou Belinga. Leur vrai village est Kondengui. Justice pour Martinez Zogo ».

Dans un autre post, Rémy Ngono indique que « le voleur et tueur-ci abonné de Kondengui, a copieusement insulté les anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, les francophones riaient. Il a insulté tous les ressortissants de l'Ouest, les gens du Centre applaudissaient ».

« Ensuite, il a insulté, tabassé et enfermé ses propres journalistes qu'il envoyait insulter tout le monde, les membres du gouvernement rigolaient. Puis, il s'est retourné pour saccager le doyen Fang-Beti de la police Martin Mbarga Nguélé, les autres Fang-Beti se réjouissaient », enchaîne la source.

Puis, « pour finir, le zomlo'o enragé a achevé tous ses frères du Centre en vociférant : "l'homme Beti est paresseux, sournois, méchant". Et comble de folie, il s'est permis d'assassiner un digne journaliste Fang-Beti Martinez Zogo. Un assassin n'a ni ami, ni frère, ni sœur, ni ethnie, ni tribu : il est un ennemi public ».