Mauvaise nouvelle : les collaborateurs d’Amougou Belinga frappés de plein fouet, c’était prévisible

Les nouvelles ne sont pas rassurantes pour les employés de Vision 4. Selon les informations publiées par le lanceur d’alerte Boris Bertolt, l'administrateur Directeur général du groupe l'Anecdote veut chasser des employés ou diminuer les salaires. C'est une mauvaise nouvelle pour la survie de l'entreprise des médias qu'a fondé Jean-Pierre Amougou Belinga avant d'être envoyé à Kondengui. Arlette Framboise Doumbe Ding se pose des questions légitimes sur cette actualité. Elle n’est guère surprise.

« Le PDG du groupe VISION 4, Jean Pierre AMOUGOU Belinga a été mis sous mandat de dépôt samedi dernier dans l’affaire Martinez Zogo. L’homme qui a désormais toutes les signatures s’appelle Poney Isaac, l’administrateur directeur général du groupe.Le PDG, Amougou Belinga ne le sait peut-être pas, mais, une petite panique s’est emparée mardi dernier des employés notamment ceux du groupe l’Anecdote qui abrite également VISION 4.Ainsi, Poney Issac a menacé d'envoyer des gens en congé technique ou de diminuer les salaires pour faire face aux difficultés financières qui pourraient rapidement pointer à l’horizon. Une situation qui a créée un début de malaise au sein de l’institution.Pour ce qui est de la perquisition, après ISSAM, les gendarmes devaient se rendre au groupe l’Anecdote mais ont annulé à la dernière minute sans expliquer les raisons et sont retournés au SED. Elle s’est déroulée également en présence de Bruno Bidjang » a écrit Boris Bertolt

« D'après certaines sources, des baisses de salaire et des mises en congés techniques envisagés à vision4 et au sein du groupe l'Anecdote. Ce n'est que logique et c'était prévisible surtout quand on imagine d'où venait l'argent pour payer ces salaires là.Et même si ces salaires sont maintenus, ça sera pour un temps. Car ces charges salariales ne sont pas soutenables dans le cadre d'une saine gestion entrepreneuriale. Quelles sont les sources de revenus de visions4 qui permettent de payer les gros salaires et d'offrir des véhicules neufs à son personnel ? Voilà la question », se questionne Arlette Framboise Doumbe Ding