Nudité : quand l'avocat d'Amougou Belinga fait parvenir un cadeau rare à la femme d'un ministre

Les révélations surprenantes dans l’affaire Martinez Zogo ne manquent pas depuis que l’homme de média a été privé de vie. Jean-Pierre Amougou Belinga, Justin Danwe et Léopold Maxime Eko Eko sont les principaux inculpés jusqu’ici. Ils ont été déposés en prison. Et l’ancien bâtonnier Me Charles Tchoungang est celui qui représentent légalement Jean-Pierre Amougou Belinga. Il aurait un passé sombre comme le raconte une source bien renseignée dans ce dossier.

Dans une vidéo intitulée « leçon de gigolotisme au foulosophe : Maître Charles Tchoungang envoie un string rouge à la femme d'un ministre », le chroniqueur sportif Rémy Ngono a déballé pas mal de choses qui se seraient passées antérieurement et qui montrent que le sieur Tchoungang n’est pas si blanche comme la neige.

L’invité régulier de la Radio France internationale (RFI) Rémy Ngono sort que « parlant de femme indigne, Melissa Amougou Belinga se présente aujourd’hui comme l’épouse d’un puissant qui se retrouve aujourd’hui jeté en prison parce que tout le monde est jaloux de lui ».

En fait, « Diana Zogo (la femme du journaliste tué, ndlr) ne verra plus jamais Martinez. Les enfants de Zogo ne verront plus jamais leur père. Et comme cet homme (Jean-Pierre Amougou Belinga ndlr) sans cœur défendu par un avocat sans cœur, ils ne peuvent pas savoir ce que c’est que le malheur des autres ».

Rémy Ngono affirme également que « Me Tchoungang, lorsqu’on le voit, il est toujours aux côtés des puissants mais il n’a pas de sentiment. Zéro sentiment. Il dort tranquillement même en défendant Satan, même à ses propres enfants, il ne fait pas du bien ».

Mais aussi le lanceur d’alertes apprend au public qu’en 1998 lui qui avait « la chance d’épouser une femme charmante Yolande Ambiana quelques temps après elle est tombée malade et est venue en France pour se soigner. Me Tchoungang non seulement l’a abandonnée mais surtout lui a retiré ses enfants ».

Dans la vidéo, il a aussi évoqué la milliardaire Mami Nyanga de son vrai nom Mme Françoise Puene, une femme Bafang : « C’est une femme que j’ai vue aider d’autres femmes, les déshéritées… contrairement à Melissa qui veut se vanter. Et c’est pour cela que je veux dire aujourd’hui à cette dame de ne plus se frotter à Me Tchoungang. Je suis au courant qu’il t’a envoyé pendant ton anniversaire un string rouge. Et mama, avec tes milliards là, c’est le string rouge que Me Tchoungang t’envoie ».



Les réactions suscitées par les propos de Rémy Ngono vont presque dans le même sens qu’a abondé le journaliste : « Me Tchoungang n'est pas différent des criminels. Il est faux. À l'époque du grand avocat Me Ngon À Bidias aujourd'hui décédé, il avait dit que Charles avait eu un parcours pas clair. Bref lui seul sait comment il s'était retrouvé avocat ».