• Paul Biya veut faire les choses en grand
• Plusieurs Chef d’Etat sont attendus
• La liste de Jeune Afrique
Depuis quelques jours, la liste des invités VIP pour le match d’ouverture de la CAN Cameroun 2021 qui devrait se tenir au stade d’Olemebé le 9 janvier prochain a commencé par fuité. Même si l’on ne sait pas véritablement si le match d’ouverture qui opposera les Lions indomptables aux Etalons du Burkina Faso aura lieu à Olembé, il y a de forte chance que la loge officielle soit bien garnie. Paul Biya veut bien faire les choses en grand.
Le magazine panafricain Jeune Afrique dévoile dans un papier la liste des invités de prestige de Paul Biya pour le match d’ouverture. Si l’on avait déjà une idée sur certains noms, le magazine se veut exhaustif.
« Jeune Afrique a toutefois pu confirmer que Paul Biya aura à ses côtés le président de la Confédération africaine de football (CAF), le Sud-Africain Patrice Motsepe, ainsi que le tout nouveau patron de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot), Samuel Eto’o. La CAF – qui gère les invitations destinées aux hautes personnalités, notamment politiques – a également convié à l’événement le président de la RD Congo, Félix Tshisekedi. Ce dernier est également invité au titre de l’Union africaine (UA), son pays occupant encore pour quelques semaines la présidence tournante de l’organisation. Le Congolais, passionné de ballon rond et par ailleurs proche de Samuel Eto’o, a prévu de répondre favorablement à l’invitation et de se rendre à Yaoundé. Selon nos sources, ses équipes travaillent à l’heure actuelle à adapter son agenda pour permettre ce séjour footballistique. Macky Sall. Le Sénégalais, dont le pays va bientôt assurer la présidence de l’UA, a bien reçu l’invitation de la CAF, comme ses services l’ont confirmé à Jeune Afrique. Mais, de même source, il réserve encore sa réponse. Roch Marc Christian Kaboré, le dirigeant du Burkina Faso, dont l’équipe affrontera le Cameroun en ouverture, a en revanche décidé de ne pas se rendre sur place, préférant se concentrer sur la situation sécuritaire de son pays », précise Jeune Afrique.