• Un lion géant est apparu pendant la cérémonie de lancement de la CAN
• Ce Lion serait l'œuvre du Belge Thibault Baras
• L'homme a pour ce travail perçu plusieurs milliards de FCFA
D'après le Camerounais Alain Tchamo, faire apparaître des objets, des hommes ou des animaux, pour ceux qui s'y connaissent n'est pas vraiment socier ni un travail extraordinaire.
Et pourtant, la société qui a fait apparaitre un lion sr le stade d'Olembé le dimanche 9 janvier 2022 dernier au stade d'Olembé a reçu 2 milliards de FCFA pour c travail. Certainement que le COCAN et le pouvoir de Yaoundé ne savaient pas qu'elle telle projection est réalisable grâce à des techniques de réalités virtuelles enseignées dans les écoles même en Afrique.
"je m'entraine je me perfectionne petit a petit. Quand je pense qu'on a donné 2 milliards a quelqu'un pour faire un truc comme ça, je suis malade. Peut être les Ivoirien vont me recruter pour faire apparaître un éléphant dans leur stade", écrit Alain Tchamo dans une publication.
Au stade Omnisport Paul Biya, Olembé, grâce à son lion virtuel, il a volé la vedette lors de la cérémonie d’ouverture de la 33e Coupe d’Afrique des Nations (CAN). Lui, c’est Thibault Baras. Belge, il est le Directeur général de Dreamwall, un studio d’animation 2/D 3/D et de création graphique et de Keywall, une solution TV dans la création de décors virtuels et réalités augmentée
aux habillages d’émissions.
C’est donc lui qui est le créateur de cet hologramme. Mais qui est réellement l’homme ?
D'après les informations reçues par la rédaction de CamerounWeb, Tout est parti de la fusion entre le groupe Dupuis et la RTBF, deux partenaires qui ont décidé de créer un studio d’animation et de graphisme spécialisé dans les métiers de la production d’animations et d’infographies.
Très vite, Thibault Baras, le directeur général de Dreamwall, va s’intéresser au monde virtuel, un domaine alors à peine effleuré, surtout en Afrique. "J’ai toujours cru en la réalité augmentée et aux technologies virtuelles à la télévision, même si on était peu nombreux à l’époque. Les directeurs artistiques et les producteurs les ont longtemps ignorées. Aujourd’hui, la tendance s’inverse et il y a un effet d’entraînement des grandes chaînes", avait-t-il
confié à Waw Magazine.