Sortie impromptue des Lions Indomptables : le clan Eto’o monte au créneau et fracasse tout

L'équipe nationale camerounaise, jadis fierté et symbole d'orgueil national, a atteint un point de non-retour. Ce qui devait être un message de solidarité s'est transformé en une mascarade qui ridiculise le football camerounais.

Vincent Aboubakar, brillant attaquant qui a écrit de belles pages du football camerounais, s'est métamorphosé en un personnage grotesque. Sa lecture du communiqué ressemblait étrangement à une mise en scène digne d'un coup d'État, avec lui comme commandant d'une opération qui n'a fait rire personne.

Sous les rires moqueurs de ses coéquipiers Onana, Zambo Anguissa et Wooh, Aboubakar est apparu comme une marionnette dont on tire les ficelles. L'image est cinglante : un capitaine transformé en porte-parole d'une revendication aussi dérisoire que la présence d'un assistant sur un banc de touche.

Le texte met en lumière l'importance du message présidentiel "LE FOOT EST BIEN, L'ÉCOLE AUSSI". Cette intervention souligne la nécessité d'une éducation qui forge le caractère et le sens des responsabilités.

Comment en est-on arrivé à utiliser le symbole national pour un règlement de compte aussi futile ? La question mérite d'être posée. Ces Lions Indomptables semblent avoir perdu toute notion de dignité et de représentation nationale.

Ce communiqué restera comme un moment de déchéance. Une poignée de joueurs vient de traîner dans la boue l'honneur et la réputation d'une équipe qui a tant fait vibrer le pays.