Supériorité reconnue : un d'entre Bello Bouba et Issa Tchiroma file tout droit vers la présidence

Read Comments Commentaires (2)

• Dr NDEMMANU Antoine De Padoue 4 days ago

  Chers Compatriotes, chers grands frères, je vous exhorte à suivre mon conseil et à mutualiser vos efforts, pour planifier ensemble des meetings et montrer aux électeurs et électrices votre unité et pour susciter le rass ...
  read full comment

  Chers Compatriotes, chers grands frères, je vous exhorte à suivre mon conseil et à mutualiser vos efforts, pour planifier ensemble des meetings et montrer aux électeurs et électrices votre unité et pour susciter le rassemblement autour de vous, la constitution d'un gouvernement de transition pacifique et apaisée serait plus convaincant.
  *RIEN N’EST IMPOSSIBLE À CŒUR VAILLANT N°00055/04-09/RDPF-KUMZSE/ADN-2025.*
  
  *Qui a ou détient l'information, a ou détient le pouvoir.*
  
  *Votons le Candidat, Président Bello Bouba MAÏGARI, pour une transition pacifique et apaisée.*
  
  Depuis l’époque du *Code Noir*, ce fantôme juridique jamais abrogé malgré l’abolition de l’esclavage, le Cameroun et l’Afrique subissent encore les chaînes invisibles de domination. Ce code, héritage d’un passé colonial cruel, légitimait la déshumanisation et l’exploitation.
  
  *Aujourd’hui, ce vestige du droit français symbolise la persistance d’un système néocolonial. Le franc CFA, verrou monétaire, et l’exploitation étrangère de nos ressources naturelles rappellent tristement que notre souveraineté est bafouée.*
  
  Pour que notre pays avance vraiment, il faut dépasser les rancunes, rejeter les chasses aux sorcières stériles, et engager un dialogue pacifique, apaisé et sincère, à la hauteur de notre histoire et de notre destin commun.
  
  Certains pensent qu’il suffirait de changer de président pour que tout change. Mais tant que nous n’aurons pas compris ces racines profondes et dénoncé clairement ce système néocolonial, cette illusion perdurera.
  
  *Après une analyse approfondie et lucide, j’estime que le Président SE Papa Paul Biya, en raison de son âge, devrait désormais présider le Conseil d’éthique et des Sages, ouvrant la voie à un renouveau réfléchi et respectueux.*
  
  *Le Président Bello Bouba Maïgari est le candidat idéal, le choix du peuple camerounais, pour guider cette transition pacifique de sept (07) ans, avec une feuille de route claire. Il a accompagné pendant quarante-trois ans le Renouveau — tout comme SE Paul Biya avait accompagné le Nouveau du feu Président Ahmadou B. AHIDJO avant d’accéder au pouvoir le 6 novembre 1982 — ce qui le place parfaitement pour conduire, avec de nouvelles ressources humaines, les correctifs nécessaires et assurer une continuité apaisée.*
  
  Cette transition s’appuiera sur:
  1. Un gouvernement d’union nationale, limité à 25 ministres, pour plus d’efficacité et de responsabilité;
  2. L’intégration de l’allemand comme troisième langue officielle du Cameroun, gage de diversité et d’ouverture;
  3. La création d’un État social fort avec allocation maternité, allocation jeunesse et allocation vieillesse, pour un véritable soutien citoyen;
  4. Une réforme territoriale innovante, avec 15 ou 16 régions aux noms et sièges adaptés (Littoral-Ouest, Extrême-Ouest, Extrême-Centre, Extrême-Sud, Extrême-Nord-Ouest, Centre-Ouest…), chacune dotée d’un Ministère d’État régional pour une véritable décentralisation et un développement équilibré.
  
  Le modèle camerounais doit être à la fois original, digne et porteur d’espoir, s’inspirant des autres sans rien leur envier, incarnant une gouvernance moderne ancrée dans nos valeurs.
  
  Ce *Nouveau du Renouveau* vise à restaurer efficacité, compétence, transparence et confiance, dans le respect de l’unité nationale et de la cohésion sociale.
  
  Il est temps d’éclairer le peuple camerounais, ici et dans la diaspora, pour qu’il prenne en main son destin en connaissance de cause, loin des vieilles rancunes et divisions.
  
  Ensemble, exigeons l’abrogation du Code Noir, qui hante encore nos lois, le remplacement du franc CFA par une monnaie africaine souveraine, et une véritable libération économique, matrices indispensables d’une indépendance réelle.
  
  Construisons ensemble un Cameroun uni, juste et prospère, où règne un dialogue sincère, pacifique et constructif.
  
  Que Dieu bénisse le Cameroun et l’Afrique!
  
  Fraternellement vôtre,
  
  *Dr NDEMMANU Antoine De Padoue, Ph.D*
  *Président National du RDPF-KUMZSE.*
  *Ancien Candidat à l'élection Présidentielle du 12 Octobre 1997.*
  *Contact: (+237) 690 922 056 / 670 655 614.*

  reply
• Dr NDEMMANU Antoine De Padoue 3 days ago

  Pour l'Amour d'Allah, le Tout Puissant ! Président Issa Tchirouma BAKARY, soutenons la Candidature du Président Bello Bouba MAÏGARI, le candidat idéal, le candidat du choix du Peuple Camerounais, le Candidat de l'héritag ...
  read full comment

  Pour l'Amour d'Allah, le Tout Puissant ! Président Issa Tchirouma BAKARY, soutenons la Candidature du Président Bello Bouba MAÏGARI, le candidat idéal, le candidat du choix du Peuple Camerounais, le Candidat de l'héritage du DON DIVIN légué par le feu Président SE Ahmadou B AHIDJO, respectons sa mémoire, que le Président Paul Biya a bafoué en décidant contre toute attente d'organiser les élections régionales le 30 Novembre (30 Novembre 1989 - 30 Novembre 2025=36 ans), un vrai délire présidentiel ! Qu'Allah, nous bénisse et nous garde !
  *RIEN N'EST IMPOSSIBLE À CŒUR VAILLANT N°00056/05-09/RDPF-KUMZSE/ADN-2025*
  
  *POURQUOI JE VOTERAIS LE CANDIDAT, PRÉSIDENT BELLO BOUBA MAÏGARI (?)*
  
  *Pour que la famille soit le socle vital du Cameroun, l’État en miniature.*
  
  Chaque citoyen, chaque futur bâtisseur de notre nation, naît dans une famille. C’est le creuset où s’élaborent les premières valeurs, le respect des règles, la discipline, la solidarité et la responsabilité. Sans cette base solide, aucun État ne peut prospérer ni garantir la paix sociale.
  
  Comme le disait Ferdinand Buisson:
  *« La famille est l’État en miniature, où s’apprennent les leçons les plus fondamentales de la vie sociale »*.
  
  Cette vérité éclaire notre devoir envers chaque foyer camerounais.
  
  Pourtant, nous savons que toutes les familles ne sont pas unies, disciplinées ou attentives à ces fondamentaux. Certains parents, par peur ou ambition mal placée, poussent leurs enfants à obtenir de faux diplômes, compromettant leur avenir, mettant en péril la famille et, in fine, la nation tout entière. Un père qui avoue:
  
  *« J’ai payé pour que mon fils ait son diplôme, je pensais bien faire, aujourd’hui je vois qu’il est perdu »* illustre tristement cette dérive qui coûte cher au Cameroun.
  
  D’autres ignorent les signaux de la puberté et ses conséquences, comme les grossesses précoces qui brisent des vies et freinent le développement d’une jeunesse pleine de promesses. Une mère témoigne:
  
  *« Ma fille est tombée enceinte à 14 ans, toute la famille en souffre, personne ne sait comment l’aider »*.
  
  Ces réalités fragilisent la cellule familiale et affaiblissent l’État.
  
  Il est indispensable de comprendre que la prise en charge effective de la famille, notamment dans les ménages indigents, n’est pas qu’un acte de solidarité: c’est un investissement pour l’État. Chaque enfant soutenu, éduqué et responsabilisé deviendra demain une tête bienfaite, une pierre angulaire pour notre économie, une *pépinière de l’impôt* et de la paix sociale.
  
  L’État doit revoir sa politique familiale et économique, appuyer les familles fragiles, bâtir des programmes de formation, de sensibilisation et d’accompagnement pour lutter contre les faux diplômes et les grossesses précoces, promouvoir l’éducation civique et morale.
  
  Notre nation ne peut plus continuer à former des jeunes pour les voir partir enrichir d’autres pays. Imaginez un instant si les Européens ou les Américains formaient leurs enfants pour qu’ils viennent payer leurs impôts en Afrique… Ce serait un miracle, mais aujourd’hui, c’est la fuite des cerveaux qui ruine nos espoirs. Ce fléau est aussi lié à notre monnaie et à notre manière de piloter notre économie.
  
  Comme le rappelait Nelson Mandela: *« L’éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde »*. Si nous voulons changer le Cameroun, il faut commencer par changer la façon dont nous élevons et accompagnons nos enfants dans nos familles.
  
  La famille est le premier lieu d’apprentissage social, culturel, économique et politique. La réussite de notre pays dépend de la capacité de chaque famille à jouer son rôle d’éducateur, de protecteur et de modèle. C’est pourquoi nous devons la soutenir avec la même énergie que celle déployée pour construire des infrastructures: l’avenir du Cameroun se forge dans la stabilité et la cohésion familiale.
  
  À tous les parents, aux familles de toutes nos régions, religions et cultures: votre responsabilité est immense, votre rôle unique. Soyez les gardiens des valeurs de respect, de vérité, de travail et d’honneur.
  
  Soutenons ensemble le projet de *transition pacifique et apaisée* porté par le Président Bello Bouba MAÏGARI, un leader qui place la famille au cœur des politiques publiques, pour un Cameroun plus fort, plus uni et plus prospère.
  
  *C’est le moment de construire un avenir où chaque enfant, chaque famille compte.*
  
  Fraternellement Vôtre,
  
  *Dr NDEMMANU Antoine De Padoue, Ph.D en Économie Sociale.*
  *Président National du RDPF-KUMZSE.*
  *Ancien Candidat à l'élection Présidentielle du 12 Octobre 1997.*
  *Contact :(+237) 690 922 056 / 670 655 614.*

  reply