Niat Njifenji, Jean Nkueté... Ces Bamilékés influents qui soufflent à l’oreille de Paul Biya et qui défient la thèse de la "bamiphobie"

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• Dr NDEMMANU Antoine De Padoue 2 days ago

  *RIEN N'EST IMPOSSIBLE À CŒUR VAILLANT N°00056/05-09/RDPF-KUMZSE/ADN-2025*
  
  *POURQUOI JE VOTERAIS LE CANDIDAT, PRÉSIDENT BELLO BOUBA MAÏGARI (?)*
  
  *Pour que la famille soit le socle vital du Cameroun, l’État en mi ...
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  *RIEN N'EST IMPOSSIBLE À CŒUR VAILLANT N°00056/05-09/RDPF-KUMZSE/ADN-2025*
  
  *POURQUOI JE VOTERAIS LE CANDIDAT, PRÉSIDENT BELLO BOUBA MAÏGARI (?)*
  
  *Pour que la famille soit le socle vital du Cameroun, l’État en miniature.*
  
  Chaque citoyen, chaque futur bâtisseur de notre nation, naît dans une famille. C’est le creuset où s’élaborent les premières valeurs, le respect des règles, la discipline, la solidarité et la responsabilité. Sans cette base solide, aucun État ne peut prospérer ni garantir la paix sociale.
  
  Comme le disait Ferdinand Buisson:
  *« La famille est l’État en miniature, où s’apprennent les leçons les plus fondamentales de la vie sociale »*.
  
  Cette vérité éclaire notre devoir envers chaque foyer camerounais.
  
  Pourtant, nous savons que toutes les familles ne sont pas unies, disciplinées ou attentives à ces fondamentaux. Certains parents, par peur ou ambition mal placée, poussent leurs enfants à obtenir de faux diplômes, compromettant leur avenir, mettant en péril la famille et, in fine, la nation tout entière. Un père qui avoue:
  
  *« J’ai payé pour que mon fils ait son diplôme, je pensais bien faire, aujourd’hui je vois qu’il est perdu »* illustre tristement cette dérive qui coûte cher au Cameroun.
  
  D’autres ignorent les signaux de la puberté et ses conséquences, comme les grossesses précoces qui brisent des vies et freinent le développement d’une jeunesse pleine de promesses. Une mère témoigne:
  
  *« Ma fille est tombée enceinte à 14 ans, toute la famille en souffre, personne ne sait comment l’aider »*.
  
  Ces réalités fragilisent la cellule familiale et affaiblissent l’État.
  
  Il est indispensable de comprendre que la prise en charge effective de la famille, notamment dans les ménages indigents, n’est pas qu’un acte de solidarité: c’est un investissement pour l’État. Chaque enfant soutenu, éduqué et responsabilisé deviendra demain une tête bienfaite, une pierre angulaire pour notre économie, une *pépinière de l’impôt* et de la paix sociale.
  
  L’État doit revoir sa politique familiale et économique, appuyer les familles fragiles, bâtir des programmes de formation, de sensibilisation et d’accompagnement pour lutter contre les faux diplômes et les grossesses précoces, promouvoir l’éducation civique et morale.
  
  Notre nation ne peut plus continuer à former des jeunes pour les voir partir enrichir d’autres pays. Imaginez un instant si les Européens ou les Américains formaient leurs enfants pour qu’ils viennent payer leurs impôts en Afrique… Ce serait un miracle, mais aujourd’hui, c’est la fuite des cerveaux qui ruine nos espoirs. Ce fléau est aussi lié à notre monnaie et à notre manière de piloter notre économie.
  
  Comme le rappelait Nelson Mandela: *« L’éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde »*. Si nous voulons changer le Cameroun, il faut commencer par changer la façon dont nous élevons et accompagnons nos enfants dans nos familles.
  
  La famille est le premier lieu d’apprentissage social, culturel, économique et politique. La réussite de notre pays dépend de la capacité de chaque famille à jouer son rôle d’éducateur, de protecteur et de modèle. C’est pourquoi nous devons la soutenir avec la même énergie que celle déployée pour construire des infrastructures: l’avenir du Cameroun se forge dans la stabilité et la cohésion familiale.
  
  À tous les parents, aux familles de toutes nos régions, religions et cultures: votre responsabilité est immense, votre rôle unique. Soyez les gardiens des valeurs de respect, de vérité, de travail et d’honneur.
  
  Soutenons ensemble le projet de *transition pacifique et apaisée* porté par le Président Bello Bouba MAÏGARI, un leader qui place la famille au cœur des politiques publiques, pour un Cameroun plus fort, plus uni et plus prospère.
  
  *C’est le moment de construire un avenir où chaque enfant, chaque famille compte.*
  
  Fraternellement Vôtre,
  
  *Dr NDEMMANU Antoine De Padoue, Ph.D en Économie Sociale.*
  *Président National du RDPF-KUMZSE.*
  *Ancien Candidat à l'élection Présidentielle du 12 Octobre 1997.*
  *Contact :(+237) 690 922 056 / 670 655 614.*

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• Zeus Fidèle Ananfack 1 day ago

  Dans ma modeste pensée je dis bien : '' le problème Bamileké existe ''. Et je précise et reprise : non pas comme un peuple contre un peuple, mais comme un individu contre un peuple, mieux encore comme un gouvernement cont ...
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  Dans ma modeste pensée je dis bien : '' le problème Bamileké existe ''. Et je précise et reprise : non pas comme un peuple contre un peuple, mais comme un individu contre un peuple, mieux encore comme un gouvernement contre un peuple. Avant même que les colons n'arrivent dans notre pays avec sa sale haine '' le Bamileké est un caillou dans la chaussure'' , le peuple Bamileké épousait le peuple Béti, le peuple Béti épousaient le peuple Sawa, le peuple Sawa épousait le peuple foufouldé etc. Et je conclus : ce n'est pas Kamto qui est le problème de la cour constitutionnelle, mais le peuple Bamileké.
  Zeus Fidèle Ananfack
  Et si jusque là, on ne me comprend pas, je vais m'expliquer, je vais parler jusqu'à ce que même le tout petit de la maternelle va me comprendre dans ma page Facebook. La grandeur d'une connaissance réside dans sa capacité de se faire comprendre par tous sans exception.

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