DIRECT : tentative d’assassinat et le ralliement d’une partie de l’armée à Issa Tchiroma

Le direct a commencé. Après une journée de tensions et de spéculations, le journaliste et lanceur d’alerte Paul Chouta passe à l’action. Plus tôt dans la journée, il avait révélé qu’une tentative d’assassinat était en cours contre lui, Boris Bertolt et N’zui Manto, trois figures critiques du régime de Paul Biya. Maintenant, il promet des révélations explosives lors de ce direct, que « tout le monde devrait suivre pour connaître la vérité ».

Pourquoi suivre ce direct ?

Paul Chouta a évoqué deux questions majeures qui pourraient bouleverser la crise politique camerounaise :

Le ralliement d’une partie de l’armée à Issa Tchiroma : Pourquoi des éléments des forces armées, traditionnellement fidèles au pouvoir en place, auraient-ils choisi de soutenir l’opposant Issa Tchiroma ? Une information qui, si confirmée, marquerait un tournant historique dans la lutte pour le pouvoir.

La localisation actuelle d’Issa Tchiroma : Où se trouve-t-il ? Est-il protégé par ces éléments de l’armée ? Sa sécurité est-elle menacée ?

Un moment « particulier »

« Préparez-vous, car le moment s’annonce particulier », a prévenu Paul Chouta. Ses déclarations interviennent dans un contexte de crise politique aiguë, marqué par des arrestations arbitraires, des rumeurs d’attentats contre des opposants, et une répression croissante des voix dissidentes.

Depuis ce matin, Paul Chouta a alerté sur les réseaux sociaux : « Le dictateur Paul Biya envoie des gens attenter à ma vie, celle de Boris Bertolt et de N’zui Manto. » Il avait également mentionné que des membres des services de sécurité étaient impliqués dans cette opération. Ce direct pourrait apporter des preuves ou des détails inédits sur cette menace.



Si les informations sur le ralliement d’une frange de l’armée à Issa Tchiroma sont avérées, cela pourrait signifier une fracture au sein des forces armées, avec des implications majeures pour l’équilibre politique du pays. Une telle révélation renforcerait la légitimité de l’opposition et affaiblirait davantage le régime actuel.