Scandale d’arbitrage : la CAF prend une décision assez inattendue et joue avec le feu

• L’arbitre Zambien Janny Sikazwe revient dans la compétition

• Il sera à la VAR lors du match Gabon Maroc

• Cette décision risque de susciter un tôlée général



Le premier scandale qui a émaillé cette Coupe d’Afrique des nations TotalEnergies Cameroun 2021, est bien évidemment celui de l’arbitrage entre la Tunisie et le Mali. Lors de cette rencontre, Janny Sikazwe, l’arbitre centrale s’est illustré par des prises de décisions assez bizarres. Après avoir tranché sur la réserve des Tunisien, la CAF vient de prendre une nouvelle décision qui scandalise déjà la toile.

La Confédération africaine de football avait annoncé il y a quelques jours sa décision sur le cas du match Tunisie-Mali. Jouée ce mercredi à Limbé, la rencontre de la première journée du groupe F avait été arrêtée définitivement alors que le chronomètre affichait 89 minutes de jeu, à la grande fureur des Tunisiens. Après examen du rapport intégral des officiels de match, ladite commission a décidé de rejeter la réserve formulée par l’équipe tunisienne et d’homologuer le résultat final de la rencontre comme étant de 1-0 en faveur du Mali.

Selon les informations, Janny Sikazwe est de retour. Il sera préposé à la VAR à l’occasion du match entre le Maroc et le Gabon, celui qui clôt le Groupe C de ce tournoi et qui risque d’être décisif pour les Panthères. Il assistera l’arbitre principal de cette partie, qui sera le Mauritanien Dahan Beida.

Selon le confrère www.football365.fr la CAF est en train de jouer avec le feu. « Cette décision de la CAF est pour le moins surprenante. Au-delà du fait qu’elles s’exposent à une pluie de critiques de la part des observateurs, les instances dirigeantes prennent le risque d’accorder une nouvelle responsabilité à un arbitre qui ne se trouve pas dans les meilleures conditions pour faire son travail. Aussi bien sur le plan physique que psychologique. Sans parler du fait que ses compétences ont été sérieusement remises en question », souligne le confrère dans un article.